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Gwen, le nouveau champion, débarque sur la Faille de l’Invocateur

Quelques semaines après l’intégration de Viego, le Roi Déchu, un nouveau champion fera très bientôt son apparition sur la Faille de l’Invocateur. On vous présente Gwen, la Couturière Sacrée !

Si un nouveau champion était attendu dans l’univers de League of Legends durant les dernières semaines, beaucoup se sont alors trompés sur son identité. Quelques semaines après l’apparition de Viego, le Roi Déchu, au sein du jeu, une partie de la communauté, dirigée par les indices laissés dans les différentes cinématiques et visuels, s’était alors laissé croire que le prochain personnage à rejoindre les rangs des Champions serait Isolde, sa femme. Et pourtant, c’est l’une de ses créations, Gwenn, que l’on pourra bientôt contrôler dans le jeu.

Comme nous le révèle la vidéo de présentation publiée sur le compte Twitter du jeu, Gwen était à la base une poupée créée par Isolde. Une fois celle-ci disparue, il semblerait qu’un sortilège lui ait mystérieusement fait prendre vie…

Compétences :

Compétence passive : Mille coupures

Les attaques de base de Gwen infligent des dégâts magiques supplémentaires à l’impact en fonction d’un pourcentage de ses PV. Les attaques de base contre les champions la soignent d’une partie des dégâts infligés.

A – Tchac, tchac ! 

Gwen coupe rapidement avec ses ciseaux, de 2 à 6 fois, et inflige des dégâts magiques dans une zone conique. Gwen utilisera au moins deux fois ses ciseaux et ajoutera un coup par attaque de base déjà infligée à un ennemi (jusqu’à 4 pour un total de 6).

Z – Brume sacrée

Gwen s’entoure de brume sacrée pendant 5sec. Elle gagne de l’armure et de la résistance magique tant qu’elle s’y trouve. Les ennemis en dehors de la brume ne peuvent pas viser Gwen ni la toucher avec des compétences.

E – Élan incisif

Gwen s’élance sur une courte distance et renforce ses attaques en augmentant leur portée, leur vitesse et leurs dégâts magiques à l’impact pendant 4 secondes. Attaquer un ennemi pendant cette période diminue de 50 % le délai de récupération du E.

R – Piqûre

Gwen peut lancer Piqûre jusqu’à trois fois, mais doit toucher un ennemi dans les 8sec pour permettre l’utilisation suivante. Chaque utilisation lance des aiguilles en ligne droite qui infligent des dégâts magiques, ralentissent les ennemis et appliquent son passif.

Le premier lancer n’envoie qu’une seule aiguille, le suivant trois et le dernier en propulse cinq, pour un total de neuf aiguilles et neuf applications de Mille coupures aux ennemis touchés.

Annoncée comme un bruiser AP par les équipes de développement, il semblerait que la petite poupée devenue couturière évoluera sur la toplane. On attend maintenant de voir ce que l’utilisation de Gwen donnera sur les serveurs live. Bien qu’elle soit déjà disponible sur le PBE, le serveur de test de Riot, nul doute que son réel potentiel sera dévoilé une fois que les joueurs professionnels pourront mettre les mains dessus.

Copyright visuel : Riot Games

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La stratégie Pokémon: bases & prérequis

Nous vous avions communiqué dans un précédent article plusieurs informations quant aux sorties diverses des futurs jeux de la licence Pokémon tout en mentionnant une part de ce qu’on appelle communément la stratégie Pokémon sans pour autant rentrer dans le vif du sujet.

En effet, et rien que pour vous, voici qui suit un dossier concocté avec efficience reprenant en long et en large les bases et les pré-requis de tout futur stratège Pokémon qui débute! Êtes-vous parés pour devenir un potentiel futur maître de tous les dresseurs?

Au cours de ce dossier et les suivants, nous commencerons par parcourir l’histoire de la stratégie depuis les premiers jeux de la licence et l’évolution qu’elle a connue à travers les âges. Nous évoquerons, au cours de cet historique, les termes prépondérants pour comprendre un minimum du combat Pokémon pour continuer ensuite sur des notions plus complexes stratégiquement parlant permettant des combats dits un minimum stratégiques. Nous terminerons, dans un autre dossier, sur les incontournables que doit connaître tout stratège qui se doit notamment pour progresser à travers l’online ou les tournois compétitifs.

A noter que certaines notions plus mathématiques et/ou accessoires ne seront que mentionnées ou même pas du tout car ce dossier est bien une introduction et non une fin en soi.

L’Histoire de la stratégie à travers les âges

L’histoire de la stratégie Pokémon commence bel et bien depuis l’arrivée de la 1ère génération où elle apparait plus basique qu’elle ne l’est dans les générations actuelles. Nous sommes alors sur Pokémon Rouge/Vert/Bleu/Jaune (Pokémon Vert n’étant jamais sorti dans nos régions) où la base passée formera le futur du combat Pokémon à travers ces notions-clés :

1. Les statistiques

Les statistiques utilisées en combat sont précisées dans l’ordre suivant : Points de Vie/Attaque/Défense/Vitesse/Spécial qui deviendra dans les générations suivantes l’Attaque Spéciale et la Défense Spéciale.

Les statistiques du Pokémon (appelés aussi stats) demeurent l’élément le plus important pour qu’un Pokémon prenne l’ascendant sur l’autre dans un combat. Un Pokémon qui possède de bonnes statistiques générales est un Pokémon complet qui peut facilement prendre l’ascendant sur des Pokémons plus faibles que lui. Un Pokémon qui développe une ou des statistiques en particulier au détriment d’autres peut se voir attribuer un rôle stratégique qui lui est propre, la stratégie de combat de ce Pokémon se jouera essentiellement sur ces mêmes statistiques. Un Pokémon mauvais en termes de statistiques est inutilisable en stratégie et fait parti d’un tiers-stratégique peu utilisé voire inutilisé.

Les Points de Vie (PV ou HP en anglais), lorsqu’ils sont réduits à zéro de par une ou plusieurs attaques adverses, rendent K.O le Pokémon en question : il devient donc inutilisable en combat. La mise au K.O des 6 Pokémons d’un joueur entraîne la défaite de ce même joueur : Ceci est le b.a-ba de tout combat!

Certains Pokémon possèdent beaucoup de PV et peuvent être considérés comme des tanks (encaissant plusieurs attaques de suite sans mourir). Combinés à une bonne Défense ou un bon Spécial (Spécial dans la première génération, Défense Spéciale dans les suivantes), ces Pokémon peuvent se révéler être de formidables alliés usant de la fatigue de l’adversaire. Leveinard est l’exemple le plus probant du Pokémon ayant le plus de PV de la 1ère génération ; il combine ses PV parfaits (une stat à 250 chez lui) à un bon Spécial. Il peut tenir longtemps en combat en se défendant bien (Défense Spécial) et en encaissant beaucoup d’attaques de suite (PV). Il peut aussi contrecarrer les Pokémon qui lui font défaut avec son Spécial (Attaque Spéciale). Un Pokémon qui a de faibles PV et qui ne développe pas d’autres statistiques telles que l’Attaque, le Spécial (l’Attaque Spéciale) ou la Vitesse tombera vite K.O au cours d’un combat.

Un Pokémon qui possède une bonne Défense (entendez-là une défense d’ordre physique) se défend tout simplement bien face à l’adversaire. Il peut encaisser les coups adverses plusieurs fois ou les attaques de l’adversaire ne lui feront que très peu de dégâts si cette statistique est développée à son paroxysme. Avoir de très bons Point de Vie est un plus mais certains n’en pas besoin d’en avoir autant, des Points de Vie moyens voire bons seront suffisant pour qu’il joue son rôle stratégique. Un exemple : Rhinoféros possède une excellente défense et de bons Points de Vie. C’est un Pokémon connu pour tenir efficacement dans un combat simple. Crustabri, quant à lui, possède la Défense la plus grande de sa génération mais de très mauvais Point de Vie, cela fait quand même de lui un très bon défenseur malgré ses PV.

L’Attaque est la statistique la plus élémentaire du Pokémon, les points d’Attaque détermineront la puissance de l’attaque de ce dernier (ne pas confondre les points d’Attaque et l’attaque : le premier est une statistique purement mathématique et le deuxième une possibilité d’une des 4 attaques que possède le Pokémon en question que nous exploiterons dans le point suivant).

Un Pokémon qui possède une très bonne attaque peut par usure ou par rapidité défaire un Pokémon qui en a une moins bonne. Mais ceci est plus complet que ça a en l’air car pour défaire l’ennemi, les Points d’Attaque sont corrélés à toutes les autres statistiques du Pokémon adverse. Des exemples concrets : un Pokémon qui a une très bonne Attaque peut se retrouver face à un autre qui a une très bonne Défense (seul la Défense adverse et l’Attaque l’alliée détermineront l’issue du duel, le Spécial ne joue pas dans ce cas-ci). Un Pokémon qui a une très bonne Attaque peut se retrouver aussi face à un Pokémon qui a de très bons Points de Vie et peut prendre du temps à défaire l’adversaire. Un autre cas : un Pokémon qui a une excellente Attaque peut se retrouver face à un Pokémon qui a de très bons Points de Vie, Défense et Attaque et se retrouver défait grâce à des statistiques plus complètes chez l’autre! (Plus compliquée qu’elle n’y paraît hein, la stratégie Pokémon?)

Le Spécial est la stat la plus aléatoire dans la première génération car elle compte à la fois une forme de Défense Spéciale et une forme d’Attaque Spéciale. Elle joue principalement sur les attaques spéciales du Pokémon tant allié qu’adverse tandis que la Défense (citée dans un paragraphe plus haut) parera essentiellement les attaques physiques de l’adversaire.

En effet, les attaques du moveset d’un Pokémon sont soit physiques (comprenez pas là une attaque direct allant d’un membre du corps allié au corps ennemi), soit spéciales (attaques à distance comme des laser, jets d’eau, attaques de climat, etc…).

Une plus grande statistique de Vitesse permet à un Pokémon d’attaquer en premier au cours d’un tour. Attention, certaines attaques sont prioritaires peu importe la Vitesse du Pokémon.

Un autre exemple concret, voici deux Pokémon et leurs stats de base classés selon cet ordre : (PV/ATQ pour Attaque/DEF pour Défense/VIT pour Vitesse/SPE pour Spécial).

Si l’on se base sur les statistiques d’Ectoplasma, on remarque qu’il a un très bon Spécial (130) alors que Rhinoféros ne possède que 45 points pour cette statistique. Ectoplasma se défend donc très bien face aux attaques spéciales de Rhinoféros et peut faire très mal en utilisant une attaque spéciale directe sur lui et possiblement lui enlever beaucoup de PV voire la totalité. Ectoplasma est ici ce qu’on appelle dans le jargon un sweeper spécial (de l’anglais libéro ou encore balayeur) ; un Pokémon offensif spécial réalisant le plus de dégâts dans un minimum de temps ou de coups.

Tout ceci avec une excellente Vitesse (110 d’Ectoplasma contre 40 de Rhinoféros), Ectoplasma commencera le premier et peut éliminer rapidement ce même Rhinoféros. Il est utile de l’éliminer rapidement car la suite ne va pas plaire à ce pauvre Ectoplasma : il faut noter que ce dernier possède une défense moyenne (60) et des PV moyens voire faibles pour un monstre de son calibre (60).

Au cours du même tour, si Rhinoféros n’est pas éliminé dès la première attaque d’Ectoplasma, Rhinoféros contre-attaquera de par une attaque physique (jouant sur sa très bonne stat d’Attaque de 130) et peut faire très mal en brisant la faible défense (60) d’Ectoplasma et réduire à zéro ses faibles PV. Dans ce combat, tout peut se jouer à la seconde près et il sera peut-être nécessaire de varier son slot stratégique (entendez par là sa team) pour possiblement switcher sur un autre Pokémon.

2. Le moveset

Le moveset est l’ensemble des 4 capacités que peut apprendre un Pokémon et les utiliser directement en combat. Ce sont soit des attaques de statut (altérant le statut de l’ennemi), soit des attaques à effet nul, soit des attaques physiques ou spéciales dotées d’un des 18 types de la table des types.

Ces attaques possèdent une puissance déterminée allant de 0 (une attaque à 0 de puissance ne fait pas de dégâts) à 200 (le stade maximum des dégâts de bases détenu par l’attaque ‘Destruction’). A noter que seuls trois attaques peuvent mettre K.O (ou OHKO : One Hit Knockout en anglais) directement le Pokémon adverse et sont au-delà du barème de puissance dans la 1ère génération, ces attaques sont depuis lors interdites dans les compétitions officielles car elles assurent une victoire complète au joueur les utilisant (malgré un faible taux de précision par attaque).

Les attaques dites de statuts altèrent le statut ennemi et peuvent le rendre :

– Si le Pokémon est paralysé : un Pokémon paralysé a 25% de chance de ne pas attaquer et sa vitesse est réduite de moitié.

– Si le Pokémon est endormi : un Pokémon endormi ne peut utiliser que les attaques suivantes : Ronflement & Blabla Dodo. Il est vulnérable aux attaques Cauchemar & Devorêve. Il se réveille au bout de 1 à 7 tours dans la première et la deuxième génération et de 1 à 3 tours depuis la cinquième génération. La capacité Repos rend le lanceur endormi pour deux tours.

– Si le Pokémon est brûlé : une brûlure réduit les dégats physiques infligés par le Pokémon de moitié. Qui plus est, il perd 1/16 de ses PV maximums à la fin de chaque tour.

– Si le Pokémon est empoisonné : un Pokémon empoisonné perd des PV à chaque tour de manière plus intense au fil et à mesure que l’on avance dans les tours. (Les Pokémon de type Poison & Acier –qui est un type qui n’apparaitra qu’à partir de la deuxième génération– ne peuvent pas être empoisonnés).

– Si le Pokémon est gelé : il ne peut pas attaquer pendant la période de gel. Il se dégèle de manière aléatoire. Il s’agit de l’altération de statut la plus efficace en stratégie mais aussi la plus rare car aucune attaque ne gèle à 100% en pratique.

Pour en revenir aux 4 capacités du moveset, Ces 4 capacités ont ce qu’on appelle un taux de précision allant de 0 à 100%. Une attaque qui a 100% de taux de précision a 10 chances sur 10 de porter fruit au cours d’un combat tandis que par exemple une attaque avec un taux de précision de 20% n’a que 2 chances sur 10 de porter ses fruits. Ces attaques possèdent aussi des PP (Points de Pouvoir) : 5 Points de Pouvoir permettent à la capacité d’être utilisée seulement 5 fois au cours d’un combat alors que des PP de 20 permettent à l’attaque d’être utilisée 20 fois au cours du même combat! Chaque attaque possède ses propres PP.

3. Le type du Pokémon et de ses attaques, son élément associé et la table des types.

Chaque monstre de poche est doté d’un type ou d’un double-type. Les éléments que peuvent constituer ce/ces types est/sont le(s) suivant(s) :

Combat, Dragon, Eau, Électrique, Feu, Glace, Insecte, Normal, Plante, Poison, Psy, Roche, Sol, Spectre, & Vol. S’y ajouteront ensuite le type Acier, Ténèbres & Fée.

Notons qu’un Pokémon qui possède le même type que l’attaque qu’il utilise profitera de ce qu’on appelle dans le jargon le STAB  (« Same Type Attack Bonus ») soit le « Bonus d’Attaque de Même Type ». Ce principe, permettra à l’attaque d’infliger 50% de dégâts supplémentaires.

Un exemple : Dracaufeu de type Feu utilise l’attaque Lance-Flamme de type Feu avec 90 de puissance. Avec le STAB, la puissance de l’attaque est multiplié par 1,5, ce qui équivaut à 135 de puissance.

Chaque Pokémon possède donc un type qui déterminera sa force et sa faiblesse : un Pokémon de type Feu tel que Dracaufeu aura l’offensive sur un Pokémon de type Plante tel que Florizarre. Il sera néanmoins faible contre un Pokémon de type Eau tel que Tortank. Tortank sera faible contre Florizarre et fort contre Dracaufeu et Florizarre sera faible contre Dracaufeu et fort contre Tortank. Les possibilités de faiblesses/forces Pokémons sont aussi variées qu’ils existent de types!

Une attaque jugée forte face un type est appelée ‘hyper-efficace’ et fera le double de dégâts de la puissance de base de l’attaque. Une attaque de 100 de puissance fera 200 de puissance à l’adversaire si elle est jugée ‘hyper-efficace’. (rajoutez-y le STAB, cela fera un carnage !!!)

Il existe aussi des doubles-types : un Pokémon de type Roche/sol sera doublement fort (fois 4 de dégâts face un double-type doublement vulnérable) ou simplement fort (fois 2 de dégâts face une seule vulnérabilité de type) contre tous les types qu’il contrecarre. Cependant, il peut être aussi doublement faible ou simplement faible contre un monotype ou un double-type en particulier.

Un exemple : Noadkoko est un Pokémon de double-type Psy/Plante. Il sera donc naturellement fort contre tous les types qu’il contrecarre, c’est à dire autant les types faibles au type Psy qu’au type Plante. Cependant, il est beaucoup plus vulnérable aux faiblesses qui sont à la fois du type Psy et du type Plante (il peut se manger un x4 de dégâts par le type Insecte qui est le point faible du type Plante et Psy et être rapidement éliminé). Cela élargit son panel de faiblesses et peut le rendre vulnérable à bien des attaques mais aussi fort à bien des Pokémon : tout sera une question d’équilibre au sein de la team. Il va falloir bien évidemment apprendre votre table des types pour pouvoir anticiper les actions de l’adversaire au cours d’un combat.

Les faiblesses/forces sont déterminés par la table des types suivante :

4. Les objets

Les objets dits stratégiquement efficients, introduits dès la deuxième génération, peuvent être tenus par les Pokémon (un Pokémon ne peut en tenir qu’un seul et en compétition officielle, votre team ne doit pas conserver le même objet plus d’une fois par Pokémon). Ils possèdent des effets divers et variés que nous verrons au cours du prochain dossier.

5. Une dernière formule mathématique pour tous les gouverner

Certains d’entre vous se sentent plus matheux que d’autres? Voici pour finir la formule mathématique permettant de calculer le nombre de PV (Points de Vie) enlevés par chaque attaque alliée.

PV perdus = ((Niveau du Pokémon×0.4+2)×Attaque du Pokémon×Puissance de Base de l’attaque/Défense ou Défense Spéciale de l’adversaire×50)+2)×CM

CM représentant un coefficient multiplicateur résultant des options suivantes : le STAB, l’efficacité du type de l’attaque, un éventuel coup critique et d’autres paramètres comme l’effet de l’objet de tenu, le talent du Pokémon et un nombre généré aléatoirement entre 0.85 et 1.

Pas de panique, nul besoin de retenir cette formule par coeur! Avec l’habitude et l’usure du combat vous devriez sentir, anticiper les dégâts adverses et alliés.

Sachez maintenant que vous disposez de la base nécessaire pour vous débrouiller un minimum en combat! Pour faire de vous un stratège accompli ou par simple curiosité pour d’autres, nous continuerons la fois prochaine d’exploiter les notions stratégiques moyennes et approfondir certaines notions clés évoquées dans ce présent dossier à partir des générations suivantes tels que les objets ou les talents. Cependant, l’expérience bâtit le maître et comme on dit : c’est en forgeant qu’on devient forgeron.

Crédit : ©2021 Pokémon. ©1995-2021 Nintendo/Creatures Inc. /GAME FREAK inc. & l’encyclopédie Poképédia.fr

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eEuro 2021 : Les eDevils finissent la première journée de qualification en 2ème position de leur groupe

La section des eDevils évoluant sur Pro Evolution Soccer disputait hier les matchs aller de la phase de groupes de l’eEuro 2021. Si une première place semblait compliquée à atteindre vu la présence d’Israel dans le groupe, les eDevils ont tout de même accroché une deuxième place de bonne augure pour la suite de la compétition.

Hier soir se déroulait la première volé de matchs de la phase de groupes de l’eEuro 2021. Les différents participants étaient rassemblés dans 10 groupes afin de se donner le change et d’accrocher une première place, synonyme de qualification immédiate pour la suite de la compétition. Les deuxièmes de chaque groupe devront quant à eux passer par une phase de barrage pour espérer se qualifier.

Les eDevils disposaient quant à eux d’un tirage plutôt favorable. Placés dans le groupe F en compagnie la Lituanie, des Iles Féroé, de la République d’Irlande, de la Suisse et de l’Israel, ces derniers nous avaient confiés redouter un minimum le dernier pays de la liste, considérant le reste du groupe totalement à porté de tir… et de but. Notons que nos joueurs ont du se passer de leur coéquipier Wouter, nouveau venu dans l’équipe, qui a du se résigner pour cause de maladie. Nos deux joueurs Milan17Jon et FETIHELTURCO se sont donc relayés pour disputer tous les matchs.

La soirée démarrait sur les coups de 17h, avec une rencontre qui nous menait face aux Iles Féroé. Un match rondement mené par les deux eDevils qui s’en sortent sur le score de 7-1, ne laissant aucune chance à leur adversaire. Mais attention, pas question de souffler pour autant. En effet, l’adversaire qui les attendait n’était nul autre qu’Israel, l’adversaire principal de nos diables dans ce groupe F.

Malheureusement pour nous, les Belges avaient des difficultés à concrétiser lors des deux matchs, ne réussissant que par deux fois à planter un goal dans les cages adverses. Score final : 2 – 7. Une chose est alors certaine, les Israéliens devront échouer eux-aussi si nous voulons décrocher la première place du groupe.

C’était ensuite au tour de la Suisse de nous affronter. Une équipe réputée comme solide mais encore une fois totalement à la porté de nos eDevils. Et ces derniers l’ont bien prouvé! Malgré une rencontre serrée, le score cumulé est de 3-1 pour la Belgique et c’est donc à nos eDevils que revient la victoire finale. L’avant-dernier match de la soirée nous opposait à la République d’Irlande. Encore une fois, nos Diables ont montré une détermination à toute épreuve. Une détermination qui a payé les joueurs, auteurs de 6 magnifiques buts qui nous permettaient de glâner une victoire supplémentaire. (Score final 6-2).

Mais si les joueurs exultaient, le dernier match s’annonçait décisif pour tenter de sécuriser la deuxième place du groupe. Face à la Lituanie, les choses étaient plus compliquées que prévues. Au final, c’est sur un nul que les deux équipes se quittaient, grâce à un magnifique but offert par FETIHELTURCO. Un résultat qui permet aux Belges de s’emparer de la deuxième place, à ex-aequo avec la République d’Irlande, elle aussi auteur d’une très belle phase de groupes.

Nos eDevils devront donc tout donner le 26 avril pour la seconde partie des phases de groupes afin de tenter une qualification directe en évitant des matchs de barrage qui pourraient bien se révéler plus compliqués que prévus, surtout vu les forces en présence dans les autres poules. Un évènement à retrouver, bien entendu, sur Pickx Live et Pickx.be !

Copyright visuel : Royal Belgian Foot Association

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Rocket League : AztraL et Solary trébuchent face à la Team Queso

La structure française Solary et son joueur belge AztraL ont échoué aux portes du titre ce dimanche soir alors que se jouait la grande finale du deuxième évènement printanier européen de la 10ème saison des RLCS. L’équipe repart cependant avec une belle deuxième place, amplement méritée.

Récemment recruté par la structure française Solary, l’ancien roster de Oxygen Esports, composé de Victor « Ferra » Francal, Thibault « Chausette45 » Grzesiak et du Belge Maëllo « AztraL » Ernst disputait depuis plus d’une semaine le second évènement européen du segment printanier de la 10 ème saison des RLCS. Habitués par le fait d’aller embêter les plus grandes équipes mondiales, les trois joueurs ont cependant prouver qu’ils pouvaient être considérés autrement qu’une équipe d’outsiders en allant chercher une deuxième marche sur le podium.

Grâce à un tirage favorable, les Solary se retrouvent versés dans le groupe D en compagnie d’équipes comme Rix GG ou encore Team Singularity. Un groupe plutôt agréable au regard du groupe A et B où étaient présents des titans comme Team BDS ou Vitality et dont ils sortent sans grande difficulté en deuxième position.

Malheureusement pour les joueurs, ce seed 2 les place directement face à Team BDS dans l’arbre supérieur. Un match-up compliqué quand on connait l’étendue du palmarès et du talent de la line-up BDS. Après une rencontre compliquée, les BDS sortent les Solary de l’arbre supérieur sur le score de 3-1, ne laissant aucune chance au Belge et à ses coéquipiers. Expulsés dans l’arbre inférieur, les joueurs n’en sont pas au bout de leur peine, car après avoir affronté la première équipe au classement mondial, c’est maintenant Vitality qui se dresse face à eux.

AztraL et les Solary nous sortent alors une performance incroyable en renversant l’une des meilleures équipes du monde sur le même score que les BDS leur ont infligé: 3-1. Les Solary se qualifient donc pour l’arbre final.

Et il faut dire que ces derniers auront profité une nouvelle fois d’un tirage favorable. Laissant le haut du peloton s’affronter, Solary hérite ici d’équipes de milieu de classement en guise d’adversaire. Une aubaine pour les joueurs qui peuvent donc se mettre à rêver d’un podium. Après deux victoires face à Atlantide Wave et White Demons, les Solary se retrouvent en grande finale face à la Team Queso.

Les deux premiers matchs sont à la faveur de la Team Queso, qui s’impose sur les score de 4-2 et 4-0. Le doute envahit alors les supporters : Les Solary seront-ils capable, mentalement, de remonter la pente ? Si la réponse est incertaine, les Solary, eux, semblent avoir la réponse. Contre toute attente, ces derniers s’imposent lors des trois matchs qui suivent. Les résultats serrés sont là pour nous rappeler que la partie n’est pas gagnée. Mais toujours est-il : les Solary viennent de remonter de 0-2 à 3-2 et tout reste possible. Malheureusement pour notre compère noir-jaune-rouge, la Team Queso nous montre alors un visage beaucoup plus féroce qu’à son accoutumée. Ceux-ci s’imposent sur le score sans appel de 5-1 lors de la 6ème manche, pour venir terminer le travail sur le score de 5-0 lors de la dernière rencontre.

Les Solary passent donc à côté du titre, mais montrent des résultats plus qu’encourageants pour la suite de l’aventure. Leur médaille d’argent leur permet d’ailleurs de se classer en 6ème position ex-aequo avec un total de 1700 points. Les Championnats du Monde, où seules les 6 meilleures équipes du classement européen seront qualifiées, sont donc encore totalement atteignables, moyennant une belle prestation lors des évènements à venir.

Copyright visuel : Psyonix

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Belgian College League : l’UCL en tête sur FIFA, six équipes en lice pour les EUM sur LoL

La Belgian College League bat son plein ! Après plusieurs semaines de championnat, nous connaissons déjà les finalistes pour la compétition League of Legends et le leader sur FIFA 21. On fait le point !

Alors que l’incertitude règne toujours dans les auditoires à cause de la crise sanitaire, la compétition e-sport universitaire vient quant à elle de passer un cap ! Si la phase de groupe sur le jeu de foot n’est pas encore terminée, les joueurs League of Legends passent d’ores et déjà aux choses sérieuses. Alors que les groupes A et B connaissent chacun le top 4 qui passera en play-off, l’attention est pour l’instant portée vers une autre phase finale. Celle qui mènera vers les qualifiers des European Masters 2021 ! Pour ces play-offs, ce sont les trois premiers de chaque poule qui s’y affronteront. Qui de Howest Brugge, KDG Esport, AES ULB, AGEM et PXL Esports atteindra la finale dans cette phase à élimination directe et parviendra peut-être à supplanter le multiple champion de Belgique, l’Ephec ? Réponse dès ce 29 mars avec les quarts de finale !

Ne vous y trompez pas, cette étape n’a rien à voir avec les play-offs de la Belgian College League qui, elle, verra les quatre meilleures équipes de chaque poule s’affronter dans une phase finale ! Les dates seront prochainement dévoilées. Petite nouveauté cette année, un second ticket pour les EUM sera également attribué au vainqueur de la BCL. Nous aurons dès lors la chance d’encourager deux de nos institutions au niveau européen.

©Belgian College League

Pour ce qui est du jeu de foot FIFA 21, la phase de groupe n’est quant à elle pas encore terminée. Pour cette année, quelques noms d’ePro League ont rejoint l’aventure universitaire, comme Nycom, le joueur du KAA Gent, ou encore ArrneM qui a participé à la saison dernière.

Toujours est-il que pour l’heure, c’est le joueur de l’UCL Uliks qui trône en tête du classement avec six victoires pour une seule défaite. Mais attention à EminoMercy de l’Université d’Anvers (5-1) et Willem Vromant de l’Arteveldehogeschool (5-1) qui restent à bonne portée avec un match de moins.

© Belgian College League

Crédits photo : Belgian College League

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LEC : En route vers les play-offs !

Après plusieurs mois de compétition acharnée en saison régulière, la ligue européenne de League of Legends voit désormais ses play-offs se rapprocher à grand pas ! L’occasion pour nous de prendre un peu de recul afin d’analyser les différentes forces en présence et ce qui nous attend dans cette phase finale du Spring Split 2021 !

Durant neuf semaines de saison régulière, les meilleures équipes européennes de League of Legends se sont donnés le change afin de décrocher l’une des 6 places de play-offs promises aux plus performantes d’entre-elles. Le week-end dernier se jouaient les derniers matchs de la saison et nous connaissons donc depuis les différentes équipes qui auront une chance de décrocher le titre printanier !

Au sein de la rédaction, on s’est donc dit qu’une petite remise en contexte des différentes équipes et de leurs performances étaient nécessaire afin de plonger dans ces play-offs le mieux préparé possible. Qui plus est, les play-offs verront cette année trois Belges évoluer.

G2 Esports – Seed 1

Après le transfert marquant de la star de chez Fnatic, Rekkles, au poste d’AD Carry chez G2 Esports, ces derniers étaient attendus au tournant par bon nombre d’observateurs. Annoncée comme la super-team européenne dont le vieux continent avait besoin pour s’imposer sur la scène internationale, l’équipe a su convaincre. Au total, ce ne sont que 4 matchs que les ninjas auront laissé à leur adversaire. Et pour cela, ils ont du user des fortes individualités présentes au sein de l’équipe.

On notera entre autres la performance du toplaner Wunder qui nous a montré à quel point son champion pool était étendu : Ce dernier a joué pas moins de 12 champions différents tout au long de la saison, en faisant l’un des joueurs les plus polyvalents à son poste. Rekkles, de son côté, nous a encore une fois démontré son talent sur des champions tels que Jhin, qu’il a joué 8 fois pour un total de 7 victoires. C’est donc le champion que la formation aura le plus utilisé durant la saison régulière, et vu son état actuel, il n’y a nul doute qu’on risque de le revoir durant ces play-offs.

Si l’intégration de Martin « Rekkles » Larssen, d’un naturel plutôt sérieux, au sein des G2 avait donc posé question en début de saison, il semble donc que la sauce ait pris entre le Suédois et ses collègues, dont certains le connaissaient déjà, à l’image du midlaner Caps. Les Ninjas ont donc réussi à sécuriser la première place et ont donc un spot de premier choix dans cet arbre final. Placés face à Schalke 04 dans le winner bracket, ils n’auront qu’un match à gagner pour avancer vers les demi-finales.

Rogue – Seed 2

La deuxième équipe à s’être qualifiée pour les play-offs, c’est Rogue. Au coude à coude avec G2 Esports durant l’entièreté de la saison, le roster n’aura pourtant pas sur s’imposer face au leader du championnat. L’affrontement aura au moins eu le mérite de nous offrir l’une des rencontres les plus serrées de la saison, qualifié de véritable banger par les observateurs de la scène.

Ils étaient décrits comme l’équipe à suivre lors du début de saison, et ont bel et bien confirmé ce statut, jusqu’à devenir l’une des équipes dominantes de ce segment printanier. Un rapide coup d’oeil au classement du KDA des joueurs de LEC suffit à comprendre la détermination du roster Rogue. En effet, bien que cette statistique n’ait que peu de valeur stratégique, la présence de 3 joueurs Rogue (Larssen, Odoamne et Hans Sama) au sein du top 5 est tout de même révélatrice. Ce dernier a d’ailleurs réalisé un magnifique segment, prouvant à de nombreuses reprises qu’il fait bel et bien partie des meilleurs joueurs à son poste en Europe.

MAD Lions – Seed 3

Arrivés troisième en saison régulière, les MAD Lions ont pourtant enchainé des performances d’un niveau très variable. Après avoir remplacés Orome et Shadow par Armut et Elyoya durant l’entre-saison, l’équipe semble avoir eu un peu de mal à trouver son rythme. Malgré tout, les jeunes rookies, qui n’en sont plus tant que ça, ont réussi à se frayer un chemin au travers de certaines équipes qui semblaient compliquer à faire tomber pour le roster.

On se rappelle notamment du match de super-week contre G2, où l’équipe a su prendre l’ascendant sur un adversaire qui semblait pourtant hors de portée. La stratégie d’avoir gardé une partie du roster, pour garder une certaine cohésion d’équipe, et de le compléter avec de nouveaux talents semble donc avoir porté ses fruits pour les lions, surtout quand on connait l’ambiance géniale qui régnait au sein du roster lors de la saison précédente.

Schalke 04 – Seed 4

Pas de miracle run pour Gillius et ses collègues durant cette saison, mais il aura fallu s’accrocher dans l’organisation allemande pour aller chercher cette qualification. Après un début de saison satisfaisant, l’équipe a connu un gros passage à vide de la 4ème à la 7ème journée de championnat, enchainant sept défaites d’affilée. Heureusement, le roster a su rebondir pour venir accrocher une qualification en play-offs.

Renforcé par le toplaner BrokenBlade, venu tout droit de chez TSM lors de l’entre-saison, l’équipe est désormais sous pression après les récentes rumeurs entourant la revente du slot LEC par l’organisation allemande, qui fait récemment face à de grandes difficultés financières, après une saison désastreuse en Bundesliga. Les joueurs devront donc tout donner pour prouver à leur organisation que l’équipe est capable de performer, même dans les moments plus tendus.

Fnatic – Seed 5

Le moins qu’on puisse dire, c’est que Fnatic a réalisé cette saison l’une des plus grosses contre-performances de son histoire. Affaibli par le départ de Rekkles, le roster avait mis toute sa confiance en Upset, l’ancien ADC d’Astralis, et Nisqy, qui venait remplacer Nemesis, remercié après une performance décevante lors des Worlds 2020. Forcé de constater que la recette n’était peut-être pas la bonne pour une organisation qui bataillait généralement pour la première place, et qui se retrouve maintenant en 5ème position du classement général.

Mais le plus inquiétant, ce n’est pas la cinquième place, qui bien qu’elle soit un peu décevante pour une structure de la stature de Fnatic reste un bon résultat. Ce qui inquiète par dessus tout, c’est la capacité du roster de Fnatic à perdre contre des équipes qui sont d’un niveau bien inférieur au leur, démontrant que même lorsque les Fnatic sont en position de force, tout peut s’écrouler très vite. On compte cependant sur les Belge Gabriël « Bwipo » Rau et Yasin « Nisqy » Dinçer pour porter leur équipe le plus loin possible, et qui sait, se frayer un passage jusqu’en grande finale de ce segment printanier.

SK Gaming – Seed 6

Arrivés à la sixième place du classement général, les SK Gaming nous ont servi une prestation qui, par moment, a dépassé les attentes des observateurs. Composée essentiellement de jeunes rookies issus de régions mineures, à l’image de Tynx, Jezu, ou encore notre compatriote Blue, l’équipe a su prouver qu’elle avait le niveau requis pour concourir parmi les meilleurs, en témoigne cette 6ème place.

Petite tâche au tableau, et qui n’augure rien de bon pour les play-offs : la seule équipe contre laquelle le roster a remporté ses deux rencontres est MAD Lions, tandis qu’elle a remporté une victoire face à Schalke 04. Une victoire face à des géants comme Rogue ou G2 Esports semble donc compliquée à aller accrocher, mais pas impossible pour les jeunes joueurs. Placés face à Fnatic dans le loser bracket, la seule solution pour espérer un titre est de remonter l’arbre en éliminant tour à tour les perdants du bracket supérieur.

Format :

Les 6 équipes qualifiées s’affronteront dans un arbre à élimination plutôt classique. Placés en pole position, les G2 Esports se sont vus offrir le choix de leur adversaire, et c’est donc Schalke 04 qui les affrontera. De leur côté, c’est donc MAD Lions que Rogue devra défaire pour progresser dans l’arbre. Chez Fnatic et SK Gaming, plus le droit à l’erreur. En effet, versés dans le loser bracket, les deux équipes savent bien qu’une défaite est maintenant synonyme d’élimination et fera disparaitre les espoirs de titre… jusqu’à l’année prochaine

Rappelons-le, ces play-offs auront une saveur particulière pour les six équipes qualifiées. Ces dernières reprendront en effet la direction des studios de Berlin pour jouer en présentiel, et ainsi offrir le meilleur divertissement possible à la communauté. Il ne vous reste donc plus que quelques jours pour rattraper votre retard afin d’entamer ces play-offs du meilleur pied possible. Le premier round démarrera dès ce soir, avec la rencontre entre Fnatic et SK Gaming. Coup d’envoi à 18 heures.

Copyright visuel : LoL Esports

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Les infections à la COVID-19 jettent le Major Dota 2 dans le doute

Organiser des événements durant la crise sanitaire n’est pas une mince affaire ! La majorité des organisateurs de tournois e-sport se tournent dès lors vers la solution en ligne. À l’exception de ONE Esports qui voulait à tout prix organiser un événement LAN à Singapour. Cependant, les tests positifs au coronavirus gâchent les plans de nombreuses équipes.

Au total, ce n’est pas moins de six équipes sur huit qui font face à des infections. Parmi les plus touchées, nous retrouvons Natus Vincere : le capitaine Andrii « ALWAYSWANNAFLY » Bondarenko et Bogdan « Iceberg » Vasilenko ont été testés positifs au virus. Mais alors que leurs remplaçants ont été appelés, Roman « RAMZES666 » Kushnarev et Andrey « Mag » Chipenko, ce dernier a également été testé positif… Face à cette situation, NAVI a été contraint de renoncer au Major. Exception faite pour RAMZES666, qui a obtenu la permission via Valve de servir de réserviste pour une autre équipe.

L’équipe beastcoast ne sera pas non plus en lice pour le titre en Asie du Sud-Est. En effet, Steven « StingeR » Vargas a lui aussi été infecté au cours de cette semaine. Par précaution, toute l’équipe a été placée en quarantaine et ne se rendra pas à Singapour ! Autre joueur affecté, Borislavov « MinD_ContRoL » Ivanov. L’équipe Team Nigma devra donc se passer des services de son talent bulgare.

Les autres victimes de la pandémie sont Carlo « Kuku » Palad de T1, John Anthony « Natsumi- » Vargas de Neon Esports et Arif « MSS » Anwar de Quincy. Face au nombre d’infections, ONE Esports a été contraint de changer le format du tournoi. Seules deux Wild Cards passeront à la phase de groupe et les éliminatoires seront finalement composés de sept formations au lieu de huit.

Au final, les problèmes rencontrés à Singapour démontrent que les tournois offlines représentent encore un sérieux risque, autant pour les équipes que pour les spectateurs. Il y a de fortes chances que l’exemple de ce Major pousse d’autres organisateurs à changer leur fusil d’épaule en optant pour une solution online !

Crédits photo : ONE Esports

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ESL lance une nouvelle compétition mondiale pour jeux mobiles

Le mois prochain, ESL lancera une nouvelle saison mondiale dédiée à l’e-sport mobile. Une annonce dévoilée hier par l’organisateur. Le Mobile Open, qui a déjà eu lieu en Amérique du Nord et en Europe, s’étend désormais à l’Asie, l’Océanie, l’Afrique du Nord et au Moyen-Orient. Cette première démarrera le 12 avril prochain et proposera plus de 500 000 euros de cash prize.

Ces dernières années, les jeux mobiles ont pris une très grande ampleur. Un constat qui n’est pas passé inaperçu du côté d’ESL ! C’est donc pour surfer sur cette vague qu’est organisée cette première mondiale exclusivement destinée aux jeux sur smartphones et tablettes ! Pour ce faire, ESL a conclu des accords avec avec des éditeurs de taille tels que Gameloft, Supercell, Riot et Tencent afin de placer leurs jeux dans un format compétitif !

Vous y retrouverez de nombreux jeux à succès tels que Asphalt 9 : Legends, Brawl Stars, Clash of Clans, League of Legends : Wild Rift, Runeterra et PUBG Mobile. Si la saison est organisée en format online, des événements à part entière sont prévus ultérieurement pour les phases finales.

©ESL

Deux types de tournois seront oragnisés, à savoir l’ESL Mobile Open et l’ESL Mobile Challenge. Pour atteindre le tour final, les participants seront obligés de passer par un ladder suivi d’un play-in ! Au travers de ces compétitions, ESL souhaites répondre à la popularité sans cesse croissante des jeux mobiles.

Voici le programme complet :

12 avril – 6 mai, 2021: Mobile Open Play (Ladder #1)
7 mai – 8 mai, 2021: Mobile Open Play-In Weekend (Ladder #1)
10 mai – 3 juin, 2021: Mobile Open Play (Ladder #2)
4 juin – 5 juin, 2021: Mobile Open Play-In Weekend (Ladder #2)
15 juin – 7 juillet, 2021: Mobile Challenge Regular Season
17-18 juillet en 22-23 juillet, 2021: Mobile Challenge Finals

Crédits photo : ESL

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Suivez les qualifications des eDevils pour l’eEuro 2021

Ce lundi soir, nos eDevils viveront la première phase de qualification pour l’eEuro 2021. À travers les cinq rencontres qui les attendent, ces derniers devront accumuler un maximum de points afin de bien se placer pour la suite de la compétition. Une soirée de matchs à suivre sur Pickx.be !

Les choses sérieuses commencent pour nos eDevils Milan17Jon, FETIHELTURCO et Wouter505 qui démarrent ce lundi le long processus qui les mènera peut-être vers un titre européen! Si le chemin est encore long, il faudra tout donner, et ce dès les premières secondes de match!

Placés dans le groupe F en compagnie d’adversaires tels que la Lituanie, les Iles Féroé, ou encore Israel, ce sont 5 rencontres qui attendent nos joueurs. Chaque rencontre se jouera en deux matchs. L’équipe ayant le plus de goals au terme des 180 minutes de jeu cumulées remportera donc l’affrontement et empochera de précieux points pour la qualification. Après les matchs d’aller de ce lundi, il faudra bien entendu remettre le couvert pour jouer les matchs retours, qui auront lieu le 26 avril.

Et il faudra être plus que performants car ici, seule la première place du groupe est synonyme d’une qualification assurée. Dans les 10 groupes, les deuxièmes devront en effet passer par des barrages et seulement six d’entre eux se qualifieront pour la suite de l’aventure.

Point positif pour nos eDevils, les nations présentes dans le groupe semblent tout à fait à la porté de leur talent. Le eDevil Milan17Jon le soulignait d’ailleurs au moment du tirage : « On est satisfaits du tirage. On sait que les favoris ici sont Israel mais on ne craint personne. Le groupe reste assez ouvert pour le top2, synonyme de qualification si les barrages se passent bien. »

Livestream :

Programme :

On se retrouve donc lundi à 17 heures pour suivre en direct les différentes rencontres des eDevils ! En route vers l’eEuro 2021 !

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Fortnite x Rocket League : une nouvelle collaboration est prévue

Habitué des collaborations commerciales avec divers partenaires, Forntite lancera dès demain un nouveau partenariat avec Rocket League. Au programme : du contenu spécial à gagner sur les deux jeux, mais aussi un concert en ligne du DJ Kaskade sur le premier!

Fortnite et Rocket League s’apprêtent à unir leurs forces afin de donner un petit coup de boost à la fin de la saison deux du jeu de voiture légendaire de Psyonix. Pour rappel, Epic Games a procédé l’année passée au rachat de Rocket League. Il n’est donc que peu étonnant de voir les deux jeux s’allier afin de se donner un peu de visibilité supplémentaire.

Mais que nous réserve donc cet évènement qui démarrera dès le 25 mars pour s’achever le 9 avril ? Comme vous pouvez vous en doutez, du contenu spécial sera à gagner sur les deux jeux. Mais pour le remporter, c’est bien sur Rocket League que vous devrez remplir différents défis.

Les défis de l’évènement :

– Jouer à trois parties en ligne
– Obtenir 500 points au total dans des parties en ligne
– Réussir cinq buts, passes décisives ou sauvetages dans des parties en ligne
– Réussir cinq arrêts et centres dans des parties en ligne
– Gagner une partie dans n’importe lequel des modes Extra

Un concert de plus sur Fortnite

Afin de marquer le coup un minimum, les équipes de chez Epic Games ont concocté un évènement comme ceux qui ont fait la renommée de leur jeu phare. Une fois de plus, un concert sera organisé dans le désormais célèbre mode « Fête Royale ». Vous pourrez y assister depuis la scène principale de la Fête royale, en utilisant le mode Incrustation d’image dans Battle Royale ou en retrouvant vos amis grâce à l’application d’appel vidéo Houseparty. 

Cette fois-ci, c’est le DJ et producteur Kaskade qui se produira sur les serveurs. Nommé aux Grammys Awards, l’Américain viendra interpréter son nouvel EP, Reset.

Le concert sera diffusé sur les serveurs européens lors de trois plages horaires que vous pouvez retrouver ci-dessous :

– Le samedi 27 mars à 1h du matin (CET)
– Le samedi 27 mars à 14h (CET)
– Le samedi 27 mars à 19h (CET)

N’hésitez pas à rester jusqu’à la fin du concert, il se pourrait que les détails de la 3ème saison de Rocket League y soient diffusés.

Copyright visuel : Epic Games