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Ukraine : Riot Games récolte 5,4 millions de dollars d’aide

Alors que l’invasion russe est toujours en cours sur le sol Ukrainien, l’éditeur de jeux-vidéo Riot Games a annoncé avoir récolté près de 5,4 millions de dollars. Un montant destiné aux différentes aides humanitaires déployées dans le pays.

On vous en parlait il y a quelques semaines, mais les réactions à l’invasion russe de l’Ukraine dans le milieu de l’esport et du jeu-vidéo n’ont pas tardé à pleuvoir. Quand certains organisateurs de tournois ont tout simplement décidé de bannir les organisations russes, plusieurs éditeurs de jeu-vidéos comme Riot Games et Epic Games ont annoncé vouloir apporter un coup de main aux différentes aides qui ont été mises en place.

Dans ce cadre, Riot Games avait annoncé que les montants des ventes de pass de combat pour VALORANT, Legends of Runeterra, Teamfight Tactics et Wild Rift, ainsi que la nouvelle ligne de skin Bee dans League of Legends, seraient reversées pour soutenir les efforts d’aide humanitaire dans la région. Une action qui durait sept jours au total, du 5 au 12 avril.

© Riot Games

En une semaine, c’est un montant total de 5,4 millions de dollars que les joueurs du monde entier ont réussi à réunir. Riot Games s’était aussi engagé à ajouter une somme d’un million de dollars.

Et Riot Games n’a pas fait les choses à moitié. Dans la plus grande transparence, la firme californienne a partagé ce 31 mars la répartition égale qui sera faite entre les trois organismes humanitaires à soutenir. Ainsi, Médecins Sans Frontières, la Croix-Rouge polonaise ainsi que International Medical Corps recevront tous un montant de 1,8 millions de dollars pour les aider dans leurs opérations dans l’est de l’Europe, une belle piqure de rappel que les gamers, aussi, ont un grand coeur.

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European Masters : la composition des groupes du play-in révélée

Découvrez la composition des groupes de la phase de play-in des European Masters 2022 !

Riot Games a révélé ce mercredi la composition des groupes de la première phase des European Masters de printemps 2022 ! La tâche s’annonce compliquée pour l’organisation belge du KRC Genk Esports, mais totalement faisable.

Elle était grandement attendue des communautés des différentes ERL’S qui composent le paysage européen de League of Legends : la composition des groupes qui disputeront le play-in, première phase des European Masters. La compétition rassemblant les meilleure équipes des différentes ligues mineures débutera en effet ce 4 avril, et la composition de ces groupes commençait donc à se faire un peu attendre.

Parlons peu mais parlons bien. C’est un tirage en demi-teinte pour les deux équipes issues de nos Elite Series, le KRC Genk Esports et mCon LG Ultragear, qui se retrouvent respectivement placés dans le groupe C et D.

KRC Genk Esports face à Vitality.Bee

Dans le groupe C, le KRC Genk Esports devra faire face à des équipes dont le niveau n’est plus à prouver. On retrouve notamment les Portugais de For The Win Esports, arrivés premiers des playoffs de leur ligue, mais aussi les Iron Wolves, troisièmes du Spring Split d’Ultraliga, la ligue polonaise. Pour couronner le tout, c’est face à l’équipe B de l’organisation française Team Vitality que le KRC devra se mesurer.

© Riot Games

Pour les mCon, la tâche sera peut-être un peu moins difficile. On ne le présente plus, mais c’est face aux doubles champions européens 2021, la Karmine Corp, que l’équipe a notamment été placée. EGN Esports, deuxièmes de la ligue portugaise, et Zero Tenacity, quatrièmes du championnat polonais.

Il ne reste maintenant plus qu’à espérer que nos deux équipes terminent dans la moitié supérieure de leur groupe, et si possible à la même place! En effet, le premier du groupe C affrontant le deuxième du groupe D, et vice versa, un affrontement de nos représentants en play-in n’est pas à exclure.

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La croissance explosive de l’esport sur mobile

Tout fan d’esport l’a forcément remarqué au cours des derniers mois et des dernières années : l’esport sur mobile connait une croissance sans pareil. Les jeux sur smartphones n’ont jamais été aussi populaires, avec des millions de spectateurs et des cagnottes énormes. Pourtant et alors que ces jeux rassemblent d’énormes communautés en Asie du Sud-Est, ces jeux sont à peine remarqués dans notre partie du monde. Mais que se cache-t-il derrière cette croissance explosive ?

Vous ne pouvez pas l’ignorer de nos jours. Chaque semaine, de nouveaux tournois et circuits majeurs d’esport sur mobile sont annoncés. Lors de l’annonce récente des Snapdragon Pro Series, un écosystème esportif mobile doté d’un prizepool de deux millions de dollars, Craig Levine, PDG de l’ESL, a décrit le secteur comme « l’avenir du jeu-vidéo« .

Un message sans équivoque de la part du plus grand organisateur de tournois au monde. Contrairement à d’autres entreprises, ESL voit un grand potentiel dans les sports électroniques sur les smartphones. Et ce n’est pas surprenant, au vu des revenus des éditeurs de jeux mobiles qui ne font qu’augmenter chaque année.

Tencent, géant chinois du jeu-vidéo dont l’offre comprend plusieurs titres mobiles, a récemment annoncé que son chiffre d’affaires en 2021 avoisinait les 32,38 milliards de dollars, soit une augmentation d’un peu moins de 10% par rapport à 2020. Pour vous donner une idée, ce nombre représente plus que le chiffre d’affaires combiné de Microsoft et de Nintendo. Selon l’entreprise chinoise, cette croissance est principalement due aux jeux mobiles, notamment PUBG Mobile, Brawl Stars et Clash of Clans.

Une croissance qui se traduit également dans les chiffres d’audience de ces jeux. Les Free Fire World Series 2021, par exemple, ont atteint 5,4 millions de téléspectateurs, devenant ainsi le tournoi le plus regardé de l’histoire de l’esport. Quatre des cinq événements les plus regardés en 2021 tournent même autour des jeux mobiles, avec deux championnats mondiaux : Mobile Legends Bang Bang, et le championnat mondial PUBG Mobile.

Les cashprize de ces tournois sont également impressionnants. Comme dans l’esport « traditionnel », des millions de dollars sont souvent dépensés en compétition. Dans les tournois d’Arena of Valor, un MOBA mobile particulièrement populaire en Asie, pas moins de 12 millions de dollars ont été distribués en 2021. Cette année, ces événements seront fusionnés avec Honor of Kings, la variante chinoise d’AoV. Un changement qui devrait conséquemment faire doubler la mise.

Une grosse popularité dans les pays en voie de développement

Pourtant, en Occident, on accorde encore que peu d’attention à l’esport mobile. Ici, les projecteurs sont principalement braqués sur les esports traditionnels, tels que League of Legends, FIFA et Counter-Strike : Global Offensive. La grande demande de jeux pour smartphones ne vient donc pas principalement d’ici, mais de régions moins développées comme certains pays d’Amérique du Sud et d’Asie.

Compte tenu de leur situation économique, ce n’est pas illogique. Les consoles et les PC de jeu sont extrêmement chers, et avec la crise du corona, les prix des GPU n’ont jamais été aussi élevés. Les amateurs de jeux vidéo des pays à faible revenu n’ont donc pas d’autre choix que de se tourner vers leurs smartphones.

Prenez un pays comme le Brésil, par exemple. Le pays d’Amérique du Sud ne se porte pas très bien économiquement, et il existe également une taxe d’importation stricte sur les consoles. Il n’est pas surprenant que LOUD Gaming, l’une des plus grandes organisations actives dans l’esport mobile, soit d’origine brésilienne. À peine un an après sa fondation en 2019, la chaîne YouTube officielle de LOUD avait d’ailleurs dépassé la barre du milliard de vues, signe d’un intéressement grandissant de la communauté.

Playhard, le fondateur de LOUD Gaming – © Instagram

En Asie également, les jeux sur smartphones sont très populaires. L’Inde, par exemple, est devenu le plus grand marché pour PUBG Mobile. Des pays pauvres comme l’Indonésie et les Philippines ont des ligues franchisées pour toutes sortes de titres mobiles. L’Afrique, un continent à peine représenté dans les sports électroniques, est de son côté considérée comme le marché de l’avenir.

Des smartphones ultrarapides

En outre, les smartphones sont devenus extrêmement puissants ces dernières années. Les smartphones modernes peuvent facilement gérer les paramètres les plus élevés des derniers jeux, et ont même assez de puissance restante pour diffuser le gameplay en direct sur Twitch. Des téléphones spéciaux pour les jeux sont disponibles depuis peu, et des accessoires spéciaux peuvent transformer votre smartphone en une véritable manette.

Non seulement la puissance des smartphones a augmenté, mais leur disponibilité a également connu une croissance exponentielle ces dernières années. En cinq ans, le nombre d’utilisateurs de smartphones a augmenté d’un peu moins de 50 %, passant de 4,435 milliards à 6,646 milliards. Les experts estiment même qu’en 2025, 72 % des internautes n’utiliseront que des smartphones pour surfer sur Internet.

Les grands développeurs capitalisent intelligemment sur ce phénomène, en proposant de plus en plus régulièrement des portages de leurs jeux phares sur mobile. League of Legends a Wild Rift, PUBG a PUBG Mobile, Call of Duty a Call of Duty Mobile, Rocket League a Rocket League Sideswipe, et ainsi de suite. Des jeux comme Fortnite et Hearthstone sont même entièrement interchangeables avec des PC et/ou des consoles. La configuration requise pour faire tourner ces jeux est délibérément faible afin de les rendre jouables par le plus grand nombre.

Il est donc peut-être temps que les pays occidentaux s’intéressent davantage aux sports électroniques mobiles. Il n’y a que sur Wild Rift que nous nous en sortons bien. L’organisation belge Game-Lord, avec notre compatriote Zefta dans ses rangs, a remporté la première place du championnat EMEA 2022 à la fin du mois de mars.

Dans Mobile Legends Bang Bang, Free Fire et PUBG Mobile, aucune équipe européenne ou nord-américaine ne figure dans le top 10. Il est donc grand temps que d’autres organisations suivent l’exemple de Game-Lord et changent cela !

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S’améliorer sur League of Legends en huit étapes

Fer, Bronze, Silver… Autant de mots qui sonnent de manière assez banales dans la bouche de n’importe quelle personne, mais qui prennent un sens tout particulier une fois replacés dans le contexte de League of Legends. Désignant les rangs les plus bas du système de classement mis en place par Riot Games, ces termes sont souvent utilisés de manière péjorative.

On s’adresse donc à toute les personnes présentes dans ces rangs, et bien entendu au-dessus, et qui ont pour objectif de se dépasser, et de monter en classement : ce guide est fait pour vous ! Passons en revue quelques conseils simples à appliquer, mais qui vous permettront à coup sûr de vous améliorer sur le MOBA de Riot.

Entrainez-vous en mode Draft

Voilà un premier conseil qui en fera sûrement rire plus d’un, mais qui ne manque pour autant pas de pertinence. Vous ne l’ignorez sûrement pas, mais au-delà des talents individuels et de la coopération avec vos alliés qu’une victoire vous demandera, l’aspect mental joue un aspect essentiel dans League of Legends. Un joueur énervé manquera généralement de discernement dans ses prises de décisions, un phénomène que l’on veut éviter au risque de le voir entrainer son équipe vers la défaite.

Et quoi de plus énervant que de donner le meilleur de soi-même pour constater que l’un de ses coéquipiers s’entraine en partie classée. C’est pourquoi nous vous mettons ce conseil en première position : qu’il s’agisse d’un champion, d’une technique de wave management ou encore d’un nouveau chemin de jungler, allez vous entrainer dans l’outil de draft !

En plus d’éviter une pression supplémentaire de la part de vos équipiers, vous bénéficierez d’un environnement moins compétitif et plus adapté à l’entrainement. Tout ça, en vous passant d’un chat qui risque d’être rempli de messages pas toujours gentils à votre égard. Plutôt win-win, non?

Concentrez-vous sur un seul rôle

C’est un sujet que nous avons déjà abordé dans nos guides. Sur League of Legends, il existe plus de 150 champions, chacun réparti dans une (ou plusieurs) catégorie(s) et cinq rôles bien distincts. Vous l’aurez compris, il y a donc beaucoup de théorie à apprendre, et à comprendre. Si vous ne possédez pas encore les bases, on ne peut que vous encourager à aller lire les trois épisodes de notre guide « League of Legends pour les noobs » (I, II, III).

Mais si vous connaissez déjà la majeure partie, et au vu de la masse d’informations à assimiler, notre deuxième conseil sera plutôt simple. Si vous désirez grimper en classement, il est préférable de se concentrer sur un seul rôle. Chacun d’entre-eux se jouant d’une manière bien différente, il vous sera bien plus simple de vous imprégner d’un rôle et de son gameplay afin de vous améliorer dans ce dernier.

Connaissez votre champion

Voici un conseil qui se base sur le même argumentaire que le précédent. Avec plus de 150 champions disponibles dans le jeu, il est souvent très facile de se perdre dans son choix, et parfois compliqué de trouver chaussure à son pied. Voici donc quelques conseils quant aux champions que vous déciderez de jouer.

Tout d’abord, choisissez un champion simple à jouer. S’il peut paraitre compliqué d’identifier un champion « simple » d’un champion « compliqué » à jouer, plusieurs outils sont à votre disposition pour vous aider. Riot Games a par exemple mis en place un indicateur dans le client de League of Legends et sur son site internet, permettant d’évaluer la difficulté à jouer un champion et en se basant notamment sur ses dégâts, ses mécaniques, etc.

Plusieurs sites comme OP.GG, U.GG ou encore Probuild vous permettront quant à eux d’obtenir plus d’informations sur les runes ou le build à faire sur votre champion. Une fois votre champion suffisamment maitrisé, passez à un autre et constituez vous un petit pool de champions sur lequel vous vous sentirez à l’aise, même en cas de ban de votre personnage préféré.

La map est votre amie …

Ce conseil peut paraitre futile, mais il est peut-être l’un des plus importants de cette liste. L’une des erreurs les plus courantes à bas elo consiste à ne pas tenir compte de sa carte et des informations très précieuses qu’elle offre durant une partie. Et pourtant, cette dernière est une véritable mine d’or pour remporter la partie.

Si vous jouez sur une lane, elle vous permettra de savoir où se trouve votre jungler et de vous comporter en conséquence. Vous n’avez par exemple aucun interêt à jouer de manière avancée sur votre lane si le jungler se situe loin et est donc incapable de vous aider. À l’inverse, si ce dernier se trouve près de vous, il serait stupide de ne pas en prendre conscience pour punir l’adversaire en cas d’erreur.

Mais grâce aux différentes aides ajoutées par Riot Games, cette carte vous offre aussi de nombreuses informations sur les objectifs neutres tels les dragons et le Baron, et surtout les timings auxquels ces derniers apparaissent. De plus, il est extrêmement de comprendre l’importance des déplacements globaux d’une équipe sur la carte. La surface couverte par la caméra du jeu étant insuffisante à cet égard, la carte reste le seul moyen d’obtenir une vue globale sur le placement de votre équipe, notamment lors des phases de teamfight dans la jungle.

et les wards aussi !

Nous en avions déjà parlé dans le volume 2 de notre guide, mais il est nécessaire de s’arrêter quelques minutes sur l’une des mécaniques de base : la vision.

Une fois les premières parties passées, vous vous en rendrez sûrement compte mais la vision dont vous disposez sur la carte est essentielle pour prévoir les déplacements de l’ennemi. Pas de vision ou une vision mal placée, et votre carte vous délivrera un nombre conséquent d’informations en moins. Il vous faudra donc placer des wards, et aux bons endroits, afin de maximiser indirectement vos chances de victoire.

Et détruisons par la même occasion cette vieille croyance populaire : Non, la vision n’est pas que l’affaire du jungler et du support. Si ces deux postes sont (normalement) plus impactants sur cet aspect, la vision est l’affaire de toute l’équipe. Un simple coup d’oeil à l’inventaire de joueurs professionnels vous permettra rapidement de comprendre que ces derniers priorisent souvent la vision à un composant d’item supplémentaire.

Comprendre la gestion des vagues de minions

On aborde ici un aspect considéré comme élémentaire par la majorité des professionnels et des joueurs de haut niveau : la gestion des vagues de minions. À première vue, ces dernières ne sont là que pour vous permette d’accumuler des ressources. Mais en réalité, ces vagues déterminent entièrement le tempo de la partie.

En pratique, push une wave rapidement vous donnera un avantage certain sur votre adversaire en cas de décalage vers une escarmouche en cours ou un objectif neutre. De l’autre côté, push vous mettra parfois dans une position plus fragile si un gank du jungler adverse survient.

D’une manière plus générale, vous remarquerez aussi que les waves ont un rôle essentiel dans des situations comme le siège d’une base. Vous aurez alors tout interêt à synchroniser vos différentes vagues pour profiter d’une pression maximale sur vos ennemis. Un cas de figure bien plus intéressant que celui dans lequel vous vous retrouvez face à une tour sans aucun minion pour subir les coups de tour.

Gérez votre mental

On l’a rapidement évoqué au début de ce dossier, mais le mental est un facteur déterminant dans les parties classées de League of Legends. Perdez votre sang froid, et vos décisions en pâtiront, ainsi que votre winrate.

Pour éviter de tilt, plusieurs conseils simples peuvent être appliqués . Commencez tout d’abord par vous concentrer sur votre propre gameplay. Il est généralement facile de pointer du doigt une erreur d’un allié, mais cela ne l’effacera pas. Encore pire, vous risquez d’énerver votre coéquipier qui multipliera alors les erreurs. Tâchez donc de garder un esprit positif, quelque soit la situation (Oui, on sait, cela peut être très compliqué.)

Si certains vous conseilleraient de mute automatiquement le chat, on vous avisera plutôt de le faire dans le seul cas où l’ambiance n’est pas au beau fixe. League of Legends est un jeu d’équipe, et il reste plus agréable quand il est joué dans ce sens.

Proximus ePro League : le Club de Bruges s’offre la remontada de la saison

Le KRC Genk Esports s’est maintenu en tête du classement général, malgré une deuxième (et rare) défaite face au eClub de Bruges lors de cette quatorzième journée de saison régulière de Proximus ePro League. Aucune nouvelle entrée dans les places qualificatives n’est à signaler.

La quatorzième journée de saison régulière de notre championnat national de FIFA, la Proximus ePro League, s’est déroulée ce mercredi après-midi sous un ciel grisaillant. Et si la pluie n’était pas présente dans le ciel, la foudre a bel et bien frappé plusieurs fois les cages des différents gardiens. En effet, alors qu’aucun changement majeur n’est à signaler dans le classement, plusieurs goals qu’on pourrait facilement placer dans la liste des concurrents pour le titre de plus beau goal de la saison été inscrits, notamment par DNS, le joueur du RFC Seraing.

La journée s’est entamée par la rencontre entre le STVV et le Beerschot de Rune Gaudaen. Un match qui s’est achevé sur un partage et une clean sheet de la part des deux équipes. Classé huitième, Rune conserve donc sa huitième place, dernier rempart avant la sortie des places qualificatives.

Le second match de l’après-midi opposait Emino Mercy (KAA Gent) et Zak Bentato (RSCA), une véritable rencontre entre rookie et vétéran de la ligue, donc. Et au vu du résultat, il faut croire que la nouvelle génération a de beaux jours devant elle. Sur un très beau score de 3-0, Emino s’est imposé face à Zak, poursuivant sa belle deuxième moitié de saison. Un score qu’a aussi infligé le Standard de Liège de ShadooW à Manse Bogaerts et à Courtrai et qui permet au Liégeois de gratter une place au classement.

Opposé à Alexander Zimet (Royal Antwerp FC), le remplaçant de Renzo, Jordi, s’en est plutôt bien tiré. Il remportait la rencontre 3-1, inscrivant au passage un but incroyable grâce à une frappe surpuissante de Kevin De Bruyne. Autre match, autre goal invraisemblable : face à l’OH Leuven, le joueur du RFC Seraing, Dns, a réussi à aller chercher une victoire qui fait du bien, malgré une qualification aux playoffs désormais impossible, le Sérésien s’est imposé 3-2, signant lui aussi un goal assez remarquable.

Mais le match de la journée, c’était sans doute la rencontre au sommet entre le KRC Genk et le Club de Bruges, tout deux présents dans le top 4. Un match fort disputé, et dans lequel le leader du championnat s’est incliné 4-3, suite à une remontada historique de Rudi et un goal inscrit dans les dernières secondes.

C’est maintenant le sprint final qui s’engage pour les joueurs. Il ne reste plus que trois journée de matchs à disputer. Il ne faut donc pas relâcher la pression pour les compétiteurs du milieu de classement où tout peut encore arriver. Le Beerschot, le Cercle de Bruges, Anvers et Courtrai sont en effet glissés dans un mouchoir de poche, et la moindre erreur pourrait tout simplement coûter la qualification à l’un des joueurs.

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ESL Benelux : TheDice et LowLandLions viennent compléter le carré final

Le carré final du Spring Split de l’ESL Benelux Championship est désormais connu ! The Dice et les LowLandLions ont réussi à se défaire du KVM Esports et de Sector One lors des derniers matchs éliminatoires de la phase de groupes. Ils disputeront donc les playoffs face au eClub de Bruges et à Project Eversio lors d’un évènement physique organisé plus tard au mois d’avril.

C’est un véritable affrontement entre la Hollande et la Belgique qui s’est déroulé ce lundi soir à l’occasion de la dernière journée de saison régulière de l’ESL Benelux Proximus Championship. Sector One et The Dice affrontaient LowLandLions et les hommes du KVM Esports dans ce qui représentait l’ultime chance de sécuriser une place dans l’arbre des playoffs. Deux rencontres qui se sont soldées par des résultats plutôt secs pour les équipes défaites.

C’est avec la rencontre KVM Esports et The Dice qu’a débuté cette dernière soirée de phase de groupes. Un match entamé sur la carte Inferno, et où The Dice n’aura pas tardé à imposer un rythme impressionnant. C’est sur un score sans appel de 16-4 que l’effectif franco-belge mettait un premier pied en demi-finale. Il n’aura d’ailleurs pas fallu forcer pour inscrire le deuxième point de cette rencontre du côté de The Dice. Sur Nuke, c’est avec seulement trois points de plus par rapport à la partie précédente que les KVM se sont inclinés, confirmant la domination de leurs adversaires.

Sur cette deuxième carte, l’un des joueurs de The Dice, XpG, nous aura d’ailleurs offert l’un des plus beaux plays de cette saison 2022. Caché près de la rampe du site B, c’est au Zeus (le taser du jeu; nldr) que le Français s’est offert un premier kill, avant de changer d’arme pour coucher trois joueurs supplémentaires à l’aide de son AK-47. Un play original, et dont les viewers se rappelleront longtemps.

Il était alors temps d’entamer la deuxième et dernière rencontre de la soirée. Un match entre deux organisations qui se connaissent maintenant bien après s’être affrontées sur différents titres comme League of Legends, CSGO ou encore Rocket League : Sector One et LowLandLions. Cette fois-ci, c’est en faveur de l’organisation hollandaise que la partie a rapidement glissé.

Engagés sur Overpass, les Sector One avaient pourtant réussi à négocier un side d’attaque correct, changeant de côté en étant légèrement menés sur un score de 6-9. Malheureusement pour eux, les LowLandLions se sont montrés décisifs en deuxième partie de map. S1 ne réussissait alors qu’à inscrire un seul point, laissant les LLL s’imposer 16-7.

Et si les fans de S1 espéraient une remontada, ils ont sans aucun doute été déçus. Sur le premier side, ce sont deux malheureux rounds que les renards auront réussi à inscrire. Et la défense ne fut pas plus simple pour un effectif modifié suite au remplacement de dyla par smogger. L’équipe ne tardait pas à s’incliner sur le score de 16-5, voyant définitivement ses chances de qualification s’éloigner.

© ESL Benelux

Les Belges devront donc compter sur une belle performance du eClub de Bruges ou LowLandLions pour voir une organisation du plat pays s’emparer de la victoire finale. Les détails du week-end de playoffs n’ont pas encore été annoncés, mais on nous glisse à l’oreillette que ESL aurait décidé de mettre les petits plats dans les grands pour clôturer la saison de la plus belle des manières …

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Cash prize gonflé, équipes qualifiées, c’est parti pour la Benelux League Rainbow Six Siege

C’est le grand retour du championnat régional de Rainbow Six Siege ! Une saison 7 qui permettra aux vainqueurs de se qualifier pour la prochaine European Challenger League et de remporter un cash prize augmenté !

Le printemps est de retour et quand les oiseaux se remettent à chanter, les joueurs R6S du Benelux se remettent au travail. Le 19 et le 20 mars dernier, près de dix équipes se sont disputées les places qualificatives pour la phase de relégation. Après une lutte acharnée, sept d’entre eux rejoignaient Activit-E en play-offs, une équipe invitées suite à son résultat la saison dernière.

Cette phase permettait aux quatre meilleures équipes de se qualifier pour la ligue, soit les top 2 de chaque groupe. Il s’agit d’Activit-E et de GeeGee Gaming pour la poule A et de Crocks in Sport Mode et The Homies pour le groupe B. Ils restait donc un ticket à distribuer et c’est hier que celui-ci se jouait entre les troisièmes de groupe à savoir Bruhject et Nuxeria Esport. Mais si vous vous attendiez à une vraie finale, il n’en a rien été ! Opposés sur la map Chalet, Bruhject n’a fait qu’une bouchée de son opposant avec un cinglant 7-0 et dès lors une qualification amplement méritée !

Ces cinq équipes retrouveront donc, dès le 4 avril prochain, les trois formations pré-qualifiées pour le phase de groupe de la Benelux League. C’est à ce stade que les choses sérieuses débuteront avec les Ducks on Quack, The Jockers et JLingz. Trois équipes formées à partir de joueurs ayant atteints le dernier carré de la saison dernière. Nous serons particulièrement attentifs à JLingz Esports qui devrait être composée Leonski ou encore Avaiche (ex-GAMMA), deux champions en titre !

Au terme des groupes, qui se clôtureront le 13 juillet après le second split, la phase de play-offs regroupera les six meilleures organisations pour la dernière ligne droite. Pour les nouveautés, et pas des moindres, le cash prize global passe de 10 000 à 17 000€. Ce qui signifie que les grands vainqueurs repartiront non seulement avec une belle somme, mais aussi avec une place pour la division 2 européenne, à savoir la Challenger League ! Voilà de quoi motiver les plus compétitifs. Autre nouvelle intéressante, sûrement dans un soucis de stabilité, les équipes qui se qualifieront pour les play-offs de la saison 7 seront désormais automatiquement qualifiées pour la saison 8 ! Tandis que les deux dernières équipes devront passer par les play-offs qualificatifs pour espérer revenir au sein du championnat ! Voilà un nouveau système qui devrait intéresser les organisations qui souhaitent bénéficier d’un peu de stabilité pour travailler sur le long terme !

Quoi qu’il en soit, que la compétition commence et que le meilleur gagne !

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ESL Pro League XV : les Movistar Riders impressionnent

Ce sont des Movistar Riders impressionnants qui se sont placés ce dimanche en 1ère position de leur poule dans cette quinzième saison de l’ESL Pro League. Qualifiés pour l’arbre final, ils ont été rejoints par les joueurs de Gambit Esports et la formation Team Liquid, arrivés 2ème et 3ème de ce groupe C.

Après les deux premiers groupe, c’était au tour de la poule C de cette quinzième saison de l’ESL Pro League de révéler ses secrets. Si le groupe était composé d’équipes de renom comme Team Liquid ou encore l’effectif Gambit, les outsiders n’ont pas déçu, à l’image de la formation espagnole de Movistar Riders.

Alors qu’ils venaient de remporter leur slot au BLAST Spring EU Showdown grâce à leur victoire dans le circuit RTP Arena Cup, Alejandro « ALEX » Masanet Candela et ses coéquipiers ont su prolonger l’effort pour terminer en première position de leur groupe. Encore mieux, les espagnols terminent cette phase de groupes invaincus. Une performance à souligner au vu des talents individuels et collectifs que représentaient les autres équipes.

© ESL

Placés sous un drapeau neutre suite à l’invasion de l’Ukraine, les joueurs de Gambit Esports ont eux aussi validé leur qualification dans l’arbre final et se plaçant en seconde position. Un fait d’arme qu’ils avaient déjà réalisé lors de la treizième et de la quatorzième édition, sans jamais décrocher la victoire finale.

Sur la troisième marche du podium, on retrouve les Team Liquid du Français Richard « shox » Papillon. Malgré un excellent parcours, c’est face aux joueurs de Gambit Esports que les Liquid ont du jouer la deuxième place du groupe. Un match sèchement perdu 2-0 (16-1; 16-11) mais qui permet tout de même à la Team de se maintenir dans les places qualificatives. Avec un tel podium, ce sont les équipes de BIG, GODSENT et Party Astronauts qui doivent maintenant rentrer à la maison.

Il ne reste donc maintenant plus que le groupe D, qui débutera ce mercredi sur les coups de 12h30. NAVI, Heroic, Astralis, Complexity, Evil Geniuses et AGO … Voici les noms des organisations qui disputeront cette dernière manche de la phase de groupes. Vous l’aurez compris, mais au vu de la stature de certaines de ces équipes, et du petit nombre de trois slots disponibles, cette ultime semaine s’annonce aussi impressionnante qu’imprévisible.

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Tout savoir sur la nouvelle mise-à-jour de Warzone

Depuis hier, une mise-à-jour remarquée a fait son apparition sur les serveurs de Call Of Duty : Warzone. Adaptation des cartes, nouveaux modes : on passe en revue toutes les nouveautés apportées par ce nouveau patch de mi-saison.

Lancée au début du mois de février, la deuxième saison de Warzone : Pacific a moins bien séduit que prévu la communauté des joueurs. Qu’à cela ne tienne, c’est une grosse mise-à-jour que les développeurs de Sledgehammer Games, Raven Software, Treyarch, et Beenox ont déployé en ce milieu de semaine. Mais que cache exactement cette deuxième saison « Reloaded » ?

Rebirth Island à l’honneur

Pour la première fois depuis sa sortie en décembre 2020, la carte Rebirth Island est au centre de l’attention d’une mise-à-jour. Alors qu’elle avait l’objet de très légères modifications, avec notamment l’intégration de petits easter eggs, c’est métamorphosée qu’apparait la carte la plus populaire du jeu depuis l’arrivée de Caldera. En effet depuis plusieurs mois, la carte est prise d’assaut par les joueurs lassés de l’île du Pacifique de Caldera.

Tout d’abord, vous remarquerez vite un changement visible partout sur la carte : les couleurs. Avec la mise-à-jour, c’est une toute nouvelle palette de couleurs qui a été appliquée à la map. Censée éclaircir cette dernière, beaucoup de joueurs se sont cependant exprimés pour expliquer que selon eux, la map semblait maintenant bien plus sombre dans ses zones situées en intérieur.

Security Area a connu un petit lifting. – © Activision

Plusieurs zones de la carte ont aussi été reconstruites de A à Z. Alors que Security Area ne séduisait qu’une toute petite partie des joueurs largués sur l’île, c’est maintenant un tout autre décor qui attend les joueurs à cet endroit de la carte. Deux nouvelles structures sont en effet sorties de terre. Un point de checkpoint sûrement destiné à des véhicules ainsi qu’un bâtiment de télécommunications ont en effet pris la place des différents pré-fabriqués qui composaient précédemment la zone.

Mais Security Area n’est pas la seule zone à avoir subi quelques modifications. Au-dessus des eaux dangereuses de Factory et de l’héliport près de Control Center, deux grands navires de ravitaillement sont maintenant amarrés.

Un des bateaux a fait son apparition près de Factory – © Activision

Deux bateaux que les opérateurs pourront explorer des ponts supérieurs jusqu’aux cales pour ramasser du loot et des boîtes de ravitaillement. L’un d’eux se trouve juste à l’extérieur de l’usine principale de Nova 6. L’autre se trouve dans un tout nouveau point d’intérêt : Dock. Deux passerelles devraient vous aider à accéder à ces navires. Si vous étiez d’humeur aventurière, sachez aussi qu’il existe plusieurs petits sauts de parkour à effectuer pour s’y rendre.

Nul doute que l’intégration de ses bateaux devraient offrir un peu plus de possibilités aux joueurs coincés entre le bâtiment et l’océan, et qui se retrouvaient souvent sous le feu des ennemis sans porte de sortie. Il se peut aussi qu’une petite surprise vous attende si vous actionnez trois fois le klaxon d’un même bateau…

La nouvelle cour de Prison – © Activision

La cour de Prison a elle aussi subi un petit lifting. Plusieurs éléments de décor, comme des tentes, ont été rajoutés à l’intérieur de celle-ci, alors que son tracé semble avoir été amélioré. Une nouvelle fois, c’est une myriade de nouvelles cachettes que les développeurs mettent à votre disposition. Ne reste maintenant plus qu’à maitriser ce nouveau terrain de jeu.

Ceux qui recherchent de la hauteur sur l’île pourront trouver les ballons de redéploiement, insérés il y a un mois sur Caldera, à certains endroits de Rebirth Island. Ils sont fonctionnellement similaires, bien qu’avec un câble d’ascension plus court pour équilibrer correctement la quantité de terrain que l’on peut couvrir avec eux sur l’île.

Resurgence Solo ?

L’un des principaux ajouts de cette mise-à-jour de mi-saison, c’est l’arrivée de trois nouveaux modes de jeu. Vous le savez sûrement, mais Resurgence était devenu l’un des modes de jeu favoris d’une grosse partie de la communauté Warzone. Mais qui ne s’est jamais retrouvé sur l’écran d’accueil du jeu, avec une folle envie de lancer une partie de Résurgence, et pourtant sans aucun ami avec qui la partager. Et bien ce genre de situations n’arrivera tout simplement plus ! En effet, un mode Resurgence Solo vient de faire son apparition.

Dans cette variante Solo, les opérateurs auront leur compteur de renaissance déjà activé. Cela signifie qu’ils auront une vie libre avant de devoir gagner des points pour des renaissances supplémentaires. Comme dans la version standard de Resurgence, le fait de gagner des points, de remplir des contrats et de rester en vie permet de recharger le compteur de renaissance. Bien entendu, ce compteur de renaissance se désactivera au cours de la partie afin de ne laisser qu’un seul opérateur s’échapper de l’île victorieux.

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Deux autres modes font aussi leur apparition et devraient rappeler de bons (on l’espère) souvenirs aux vétérans de Warzone. Le mode Blood Money fonctionne comme le mode Pillage, sauf que les opérateurs sont assurés d’un gain important pour les kills effectués, même si leur cible a peu ou pas d’argent sur elle. Améliorez le niveau de vos armes grâce à l’argent accumulé et redéployez votre équipe dans ce mode trépidant.

Avec le mode de jeu Payload, les développeurs poussent encore un peu plus loin le teamplay dont les joueurs devront faire preuve. Comme dans des jeux comme Overwatch, les opérateurs devront escorter ou tenter d’arrêter des camions pendant leur trajet sur Rebirth Island. Rebirth Payload sera une expérience à 12 contre 12, permettant à trois escouades complètes par équipe de se battre sur trois routes prédéfinies pour la suprématie des objectifs.

Dites bonjour à l’Armaguerra 43

Comme à (presque) chaque mise-à-jour, les développeurs nous ont glissé un nouveau jouet avec lequel s’amuser sur l’île de Caldera ou sur Rebirth Island. Cette fois-ci, c’est un pistolet-mitrailleur du doux nom de Armaguerra 43 !

© Activision

Débloquée via un défi ou via un achat dans la boutique, l’Armaguerra est tout simplement la mitraillette à la fréquence de tir la plus élevée de sa catégorie (sans équipement). Il vous faudra cependant l’équiper des bons accessoires car son grand recul et ses faibles dégâts en font une arme complexe à maitriser, malgré une portée tout à fait respectable. Pas d’inquiétude, les développeurs nous assurent qu’elle reste utilisable dans de nombreuses situations. Il ne reste plus qu’à trouver la combinaison d’accessoires parfaite !

Quelques petites nouveautés

Il nous reste encore quelques petites nouveautés à vous faire découvrir pour cette deuxième moitié de saison. Par exemple, vous le remarquerez bien assez vite mais la mécanique des sacs d’armures a été modifiée. Avant, ramasser un sac d’armures vous donnait automatiquement le nombre maximum de plaques dans votre inventaire, qu’il ait déjà été utilisé ou non. À partir de maintenant, ce nombre variera en fonction des plaques ayant été utilisées au préalable. Il sera donc totalement possible de tomber sur un sac de plaques à moitié ou totalement vide.

Si vous avez l’oeil fin, vous aurez sûrement noté qu’au-delà des différents aménagements faits sur Rebirth Island, l’île parait différente, même dans ses recoins inchangés. La raison est en réalité toute simple, et plutôt amusante. En plus d’avoir légèrement modifié la palette de couleurs, les développeurs ont tout simplement changé l’orientation du soleil. Une modification aussi légère soit-elle, mais qui change considérablement la manière dont l’oeil humain voit les choses.

Pour terminer, on vous soulignera aussi l’apparition d’un nouvel easter egg plutôt sympathique. Pour l’activer, il vous suffira de vous rendre dans la maison de Headquarters qui abritait le bunker anti-aérien. Une fois dedans, vous pourrez récupérer un plan d’arme légendaire pour la Milano, mais pas que. Dans cette salle, vous pourrez récupérer une carte d’accès. Une fois dans votre poche, cette carte vous permettra d’ouvrir la porte de la nouvelle tour de télécommunication construite à Security Area. Il ne vous restera alors plus qu’à vous emparer du butin présent dans l’un des coffres de la salle présente au sous-sol.

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Rocket League : G2 s’empare du Major

Les Nord-Américains de chez G2 Esports auront brillé sur la scène du Youtube Theater à l’occasion du Winter Major du circuit des Rocket League Championship Series, véritable joyau pour tout joueur investi. Une victoire acquise non sans mérite face à la Team Queso, et en l’absence de cadors de la discipline, à l’image de la Team Vitality.

Point final du segment hivernal, se tenait la semaine dernière le Major hivernal, rassemblant les meilleures équipes de chaque classement régional. Un Major qui s’est achevé sur la scène du Youtube Theater face à un public déchainé. Au terme d’un match fort disputé face aux Européens de Team Queso, les hommes de G2 Esports sont repartis avec la victoire finale.

Il faut dire que les G2 Esports n’auront pas vraiment été inquiétés tout au long de la compétition. Ces derniers avaient terminé invaincus, et donc en première position de la phase de groupes. Un seeding favorable qui leur avait permis d’éviter le loser bracket où la Team Queso a fait de véritables ravages.

Arrivés deuxièmes de leur groupe, les Queso ont effectué une magnifique remontée de l’arbre inférieur. Pour faire simple, la Team Queso aura éteint peu à peu les espoirs nord-américains en éliminant toutes les formations représentant le nouveau continent. Toutes, sauf G2 Esports.

Arrivés en finale, il leur fallait alors remporter deux B07, à cause de leur qualification via l’arbre inférieur, tandis que G2 Esports ne devait aller trouver qu’une seule fois la victoire. Si les Européens ont tenu le cap durant la première série, ce sont des G2 esports incisifs dans les moments déterminants qui ont su se montrer plus pertinents au général. Chicago, JKnaps et Atomic remportaient la deuxième partie, rapportant au passage un beau titre de champion de Major à leur organisation ainsi qu’un cashprize de 90 000$.

Un tel résultat est de très bonne augure pour G2 Esports quant à la suite de la compétition. En remportant le Major, et les 701 points de classement attribués aux vainqueurs, l’équipe sécurise une avance de 400 points. Plutôt confortable au vu des montants qui récompensent les vainqueurs des étapes intermédiaires.