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5 conseils pour améliorer tes skills sur CS:GO

Vous êtes bloqué sur le même rang depuis des mois ? Vos adversaires semblent avoir une longueur d’avance sur vous à chaque match ? Et pourtant, vous pensez avoir atteint votre meilleur niveau ? Dans ce cas, nous avons une bonne nouvelle pour vous. Il existe quelques moyens simples pour améliorer rapidement vos compétences en CS:GO ! On a donc préparé un petit résumé de tous les conseils, rien que pour vous.

1. Travaillez sur votre visée

Nous ne pouvons pas nous empêcher de commencer par l’aspect le plus important de Counter-Strike : votre visée. Cela semble évident, mais en gagnant plus de duels en tête-à-tête, vous aurez un plus grand impact sur le round et votre taux de victoire augmentera automatiquement. Mais comment s’y prendre exactement ? C’est simple : il faut s’entraîner !

L’entrainement est le mot clé pour bon nombre de joueurs professionnels de CS:GO. Même Oleksandr « s1mple » Kostyliev commence sa journée par quelques tours de piste contre des bots. La carte Aim Botz-Training est l’une des préférées de la communauté. Sur celle-ci, vous pourrez fixer des limites de temps, choisir l’arme à utiliser et sélectionner le nombre de bots. Des classements sont également disponibles, si vous souhaitez vous mesurer aux meilleurs joueurs du monde.

©uLLeticaL – Aim Botz, une des maps les plus populaires sur le Steam Workshop

Mais il y a plus dans Counter-Strike que de simples tirs dans la tête. Chaque arme automatique a son propre recul. Ce recul peut être compensé en déplaçant votre souris dans la direction opposée. Les motifs de recul sont toujours les mêmes, et vous pouvez facilement apprendre celui de chaque arme par cœur. Très utile lorsque vous vous retrouvez face à des adversaires multiples !

Les bots peuvent être utiles, mais l’entraînement contre d’autres joueurs est nécessaire si vous voulez améliorer vos compétences de tir. Essayez donc de jouer quelques parties de Deathmatch chaque jour avant de vous lancer dans des parties classées. Les retakemaps sont également une bonne option : elles vous apprendront à infiltrer ou à protéger des sites après la pose de la bombe. Ces serveurs peuvent être trouvés dans le navigateur de la communauté.

Besoin d’une explication supplémentaire ? N’oubliez pas de lire notre dossier destiner spécifiquement à vous aider à améliorer votre visée.

2. Faites usage de vos grenades utilitaires

Vous maitrisez maintenant les armes telles que l’AK 47 et le M4A1 ? Très bien, alors vous êtes sur la bonne voie pour atteindre un rang supérieur ! Cependant, la visée n’est pas la seule chose qui compte sur CS:GO. L’aspect tactique n’est pas à mettre de côté. Et pour le maitriser, il est vital d’apprendre à utiliser les grenades utilitaires.

Les fumigènes, par exemple, sont indispensables pour prendre un site. Mais vous devez savoir comment les placer au bon endroit sans vous faire tirer dessus. Pour cela, certaines cartes sont un outil utile. Ces cartes personnalisées vous montrent exactement à quel endroit vous placer, comment lancer les grenades, et vous permettent de vous entraîner. Si vous préférez apprendre de manière un peu plus passionnée, il existe de nombreux tutoriels sur Youtube.

Ces cartes personnalisées ne sont pas seulement utiles pour apprendre les fumées. D’autres grenades entrent également en jeu. Apprendre les flashs pop (lancer une grenade flash d’une certaine manière pour que l’adversaire n’ait pas le temps de détourner le regard) peut vous faire passer à un niveau supérieur. Vous apprendrez même à mieux lancer les grenades à main et les cocktails Molotov, pour faire le plus de dégâts possible.

3. Apprenez à connaître les cartes

Parfois, il est préférable de ne pas se jeter dans le grand bain, mais de progresser pas à pas. Cela vaut également pour l’apprentissage des cartes. Avant de vous aventurer dans le matchmaking compétitif, il est préférable d’apprendre à connaître les cartes dans un environnement plus sûr. Apprenez à connaître tous les recoins des cartes en les parcourant seul, ou essayez un match d’entraînement avec des bots. Cela vous soulagera et vous permettra d’explorer les cartes plus efficacement.

Sélectionner toutes les cartes en même temps n’est pas toujours une bonne idée. Au début, il est préférable de se concentrer sur une ou deux cartes que vous aimez vraiment. Une fois que vous les connaissez comme votre poche, vous pouvez ajouter une autre carte à votre rotation. De cette façon, il n’y aura jamais de surprises.

©win.gg – Les callouts sur Dust2

La communication est extrêmement importante dans un sport d’équipe comme Counter-Strike. Vous devez donc être en mesure de donner des informations sur la localisation des adversaires à tout moment. Le moyen le plus ciblé est d’apprendre les callouts. Il s’agit de termes, choisis par la communauté, qui indiquent des points spécifiques sur une carte. Des termes comme long, short, default en ramp ne doivent jamais vous être inconnus. Ouvrir une carte avec les légendes sur votre deuxième écran n’est certainement pas un luxe superflu au début. Il existe également de nombreuses sources instructives sur Youtube.

4. Trouvez une équipe

Peut-être l’un des conseils les plus importants de cet article : jouez avec une équipe régulière. Tu ne connais personne qui soit aussi fan de Counter-Strike que toi ? Pas d’inquiétudes, il y a sans doute des joueurs qui cherchent de nouveaux amis du même niveau que vous et beaucoup de sites communautaires existent pour vous mettre en relation . Le grand avantage de jouer avec des amis est que vous êtes moins susceptible de vous mettre en colère contre vous-même et vos coéquipiers. Cela rend CS:GO plus amusant et moins frustrant à long terme.

Avez-vous trouvé des coéquipiers ? Bien, alors vous pouvez commencer à diviser les rôles. En jouant ensemble, vous découvrirez rapidement qui est le meilleur AWPer de l’équipe, qui collecte le plus de frags en entrée de site et qui est le plus fort sur un site particulier. Tirez parti de ces atouts en donnant à chacun un rôle permanent. La spécialisation vous aidera à vous améliorer plus rapidement et à mieux servir votre équipe.

Vous n’avez pas trouvé de joueurs partageant les mêmes idées ou vous préférez jouer seul ? Aucun problème, n’oubliez pas de ne pas vous défouler sur vos coéquipiers pendant les matchs. Essayez de donner à votre équipe le meilleur service possible, même lorsque les choses vont mal, et gardez votre sang-froid lorsque quelqu’un n’achète qu’un Deagle pour le cinquième tour de suite. Les comebacks sont toujours possibles dans CS:GO, mais des coéquipiers en colère ne sont d’aucune aide.

5. Intéressez-vous à l’e-sport

Vous avez suivi tous les conseils ci-dessus, mais il vous manque encore quelque chose ? Alors peut-être avez-vous besoin d’un peu plus d’inspiration. Les ligues professionnelles sont idéales pour trouver des idées issues des meilleurs. Les tournois comme l’IEM Cologne et l’ESL Pro League ne sont pas seulement amusants à regarder, vous pouvez également découvrir de nouvelles tactiques pour votre équipe. Alors n’oubliez pas de consulter le site Pickx Esports pour obtenir les dernières informations sur les meilleurs événements de la scène CS:GO !

Si cela ne suffit pas, vous pouvez également utiliser la visionneuse de démos intégrée pour analyser les meilleurs joueurs du monde. Choisissez votre joueur préféré, téléchargez l’une de ses démos et sortez votre carnet de notes. Suivre le point de vue d’un joueur spécifique est un bon moyen de mieux comprendre son rôle dans l’équipe. Et, qui sait, vous pourriez même apprendre une nouvelle smoke ou un boost inattendu

Enfin, n’oubliez pas que vous ne maîtriserez jamais complètement Counter-Strike. CS:GO est si complexe que vous apprendrez quelque chose de nouveau à chaque match. En plus de cela, la méta n’est jamais fixée et de nouvelles cartes apparaissent régulièrement. Le meilleur conseil reste donc d’être toujours désireux d’apprendre.

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Xsodus : « L’e-sport belge est loin de là où il devrait en être actuellement. »

Le Summer Split de la Belgian League est maintenant terminé. Une belle occasion pour nous de rencontrer Xavier-Sigi « Xsodus » Osselaer, caster néerlandophone de la compétition. Nous avons saisi cette opportunité, et s’en est suivi une discussion à coeur ouvert sur l’écosystème e-sportif belge qui, croyez-nous, aurait pu durer bien plus longtemps au vu de la loquacité et de l’enthousiasme de notre interlocuteur !

Salut Xavier! Est-ce que tu pourrais te présenter en quelques phrases pour notre public qui ne serait pas familier avec toi ?

Bien entendu! Salut à tous, je m’appelle Xavier-Sigi Osselaer, plus connu sous le nom de Xsodus! Je suis un caster belge sur le jeu League of Legends. Je pense d’ailleurs pouvoir dire qu’hormis Krepo et Sjokz, je devais être un des premiers Belges à me lancer là-dedans. Je me rappelle quand j’ai commencé à caster, j’étais entouré de collègues venant des Pays-Bas!

Avant toute chose, comment t’es-tu retrouvé dans le monde du jeu vidéo ?

J’ai eu une enfance un peu difficile. Une des conséquences, c’était que je vivais dans une ferme, assez loin de ce qu’on pourrait appeler la « société ». Les jeux-vidéos étaient donc un de mes seuls moyens de discuter avec mes amis régulièrement. Naturellement, ça m’a aussi permis de rencontrer plein de nouvelles personnes. Petite anecdote, j’ai d’ailleurs économisé assez d’argent pour m’acheter un ordinateur portable. Par moment, il devenait tellement chaud que je devais mettre des blocs de glaçons en dessous pour le refroidir ! « Rires »

Tu jouais à quels jeux à l’époque?

Sans surprise, j’ai commencé avec Warcraft 3. Je regardais souvent ce à quoi il jouait et un jour il m’a proposé d’essayer. La transition sur League of Legends s’est faite à son initiative, c’est lui qui m’a montré le jeu en me disant de le tester. Vu qu’il était gratuit, ça me permettait de jouer avec beaucoup de gens différents. Je suis quelqu’un de très sociable donc j’aime vraiment avoir des personnes autour de moi. Parfois, je les dérange un peu mais c’est leur problème… « Rires »

C’est donc le côté multijoueur qui t’a attiré?

Au début oui, même si je continuais à jouer à des jeux en solo de mon côté. Après un petit temps, j’ai commencé à me rendre compte que le jeu en lui-même était vraiment bien. La multitude de champions disponibles rendait toutes les parties uniques. Puis, il faut le dire, à l’époque il y avait une ambiance très far west dans le jeu. Chacun jouait ce qu’il voulait et de la manière dont il le voulait.

D’ailleurs, comment as-tu commencé ta carrière de caster?

J’avais beaucoup d’amis qui jouaient beaucoup aux jeux-vidéos, moi aussi d’ailleurs. Un jour, un de ces amis m’a parlé d’une annonce qui avait été publiée sur un groupe Facebook. L’annonce expliquait qu’une organisation était à la recherche d’un commentateur de jeux-vidéos. Étant donné qu’ils ne cherchaient pas quelqu’un d’expérience, je me suis dit « Allez, pourquoi pas? » et j’ai tenté ma chance.

Comment s’est passé ton premier cast du coup?

Je suis arrivé très stressé, mais je savais que ça allait arriver et je m’étais donc vraiment préparé. J’avais écrit plusieurs notes à l’avance afin de bien connaitre mon sujet. Et évidemment, j’ai oublié toutes mes notes à la maison… Je suis arrivé là-bas en transpirant à grosses gouttes et en étant persuadé que j’allais me planter. Finalement, j’ai été assez mauvais mais ils m’ont bien aimé et m’ont rappelé pour recommencer l’expérience.

Qu’est ce qui te fait vibrer dans le cast, plusieurs années après?

Durant mes études, je me suis rendu compte que j’étais atteint de troubles plutôt sévères de déficit de l’attention. C’est quelque chose que j’ai remarqué assez tard, contrairement aux gens qui m’entouraient. Ça a pour conséquences que j’avais vraiment du mal à me concentrer sur une seule et unique chose. Du coup, ce qui m’a vraiment plu dans le cast, c’est le fait que c’est très différent à chaque fois et que ça amène un storytelling génial. Ça me permet d’amener un peu de plaisir aux gens et c’est quelque chose que j’apprécie vraiment. Divertir les gens reste la chose qui me plait le plus dans le cast à l’heure actuelle.

Xsodus et Dino dans les studios de la Belgian League

C’est assez drôle car, après avoir posé la question à ton collègue Dino, on se rend compte que vos réponses sont très complémentaires. Au passage, comment vous vous êtes rencontrés?

On cherchait de nouveaux casters chez META en prévision de possibles départs. Vu que j’étais un de ceux qui devaient rester dans le casting crew, je me suis proposé pour participer au recrutement. On a fait une liste, qu’on a passé au crible en regardant les rediffusions des candidats. Il y avait un gars dans la liste où je me suis vraiment dit: « Ok, ce gars a du talent et pourrait tenir de belles promesses. ». Je lui ai proposé de faire l’Open Tour ensemble pour voir si ça roulait quand on castait. Au vu de ce qu’il a montré, je savais qu’il pouvait faire encore mieux si on le plaçait dans un réel environnement professionnel.

En parlant de talent, quelles sont les qualités qu’un caster doit avoir selon toi?

Je pense que personne ne le sait vraiment. Ce n’est pas une science exacte. Pour moi, la question revient un peu à demander « Qu’est ce qui fait un bon peintre? ». Et bien vous devez savoir peindre! Le reste est assez personnel selon moi. Comme une personne apprécierait une oeuvre et pas une autre, certains vont trouver des casters extrêmement talentueux et d’autres moins.

Il y a une chose selon moi qui reste très important : réussir à faire la balance entre l’animateur et le journaliste. Ce que je veux dire par là c’est qu’il faut être très précis dans ce qu’on dit mais aussi réussir à se faire comprendre par une audience qui, parfois, découvre le jeu sur le moment.

La saison 2021 de Belgian League vient de toucher à sa fin, satisfait du dénouement ?

C’était très intéressant, on a pu observer un nouveau renversement de vapeur tout au long du segment! De manière générale, Sector One a toujours été la top team dans la Belgian League, puis d’un coup, KVM débarque! Au Spring Split, ils ont clairement montré qu’ils étaient les meilleurs et ont fait souffler un vent frais sur la ligue.

En amenant de nouvelles histoires avec eux…

Exactement! On avait un peu l’impression d’entrer dans un nouveau chapitre de la ligue. Et puis maintenant, on est de retour dans l’ancienne histoire. Ne me méprenez pas, Sector One méritait clairement son titre au Summer Split, je trouve juste ça dommage de ne pas voir de nouvelles équipes émerger de manière plus conséquente et stable.

Parlons un peu de la fusion entre la Belgian League et la Dutch League qui est prévue l’année prochaine. Penses-tu qu’une telle opération est bénéfique pour l’écosystème belge?

Il faut d’abord distinguer la Belgique du Benelux. Pour l’écosystème belge, je ne pense pas que ça soit une bonne chose dans le sens où on perd une scène d’entrainement pour les jeunes talents belges (bien que certaines équipes de Belgian League faisaient jouer des Hollandais). Cela faisait surtout office de motivation pour ces jeunes joueurs qui désiraient se lancer.

La meilleure solution selon moi aurait été de créer une super ligue, ou évènement rassemblant les meilleures des deux ligues, tout en les conservant pour faire vivre la scène nationale.

Cette super ligue pourrait en définitive remplacer les Country Finals, dont certains ont du mal à comprendre l’interêt…

Exactement! Beaucoup d’acteurs du milieu étaient d’ailleurs demandeurs de ce genre d’initiatives rassemblant les deux pays, où les vainqueurs de l’Open Tour auraient aussi pu participer par exemple. C’est aussi un moyen de motiver les joueurs de l’Open Tour à se dépasser pour affronter de meilleures équipes en fin d’année et participer à un évènement.

Ce qui aurait pu servir de tournoi de relégation, comme celui organisé en LFL ?

Même si je ne suis pas fan du système de relégation, c’est une idée en effet! De manière générale, je trouve que le format des Country Finals et leur enjeu n’intéresse plus grand monde. Ca peut paraitre rude dit comme ça mais je pense vraiment que peu de monde attend cet évènement comme on pourrait attendre la finale d’un split par exemple.

Ce désintéressement, c’est un phénomène à plus large échelle selon toi dans le milieu e-sportif belge?

De manière générale oui! J’ai l’impression que l’e-sport est encore loin de là où il devrait être, notamment en terme de pénétration de marché. Nous avons des structures et des ligues qui en valent la peine, mais je connais tellement de fans de jeux-vidéos qui ne savent même pas ce qui se passe dans leur pays, tout simplement parce qu’on ne le montre pas assez.

Dernière petite question : les European Masters sont actuellement en cours, tu as un petite prédiction sur le vainqueur?

Je pense que les équipes françaises de Misfits et Karmine Corp ont le plus de chances de ramener le titre à la maison. Après, je pense qu’il ne faut pas sous-estimer certaines équipes qui sortent des play-in comme Movistar Riders et l’équipe académique de ROGUE.

Un gros merci à toi pour tes réponses Xsodus, on te souhaite le meilleur pour la suite!

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Ninja va-t-il signer son retour e-sportif sur Halo Infinite ?

Le célèbre streamer américain serait-il entrain de préparer son retour dans l’univers de l’e-sport? C’est en tout cas ce que laisse penser un tweet publié par ce dernier après plusieurs questions posées par sa communauté …

Bien que seulement une petite partie de sa communauté sache vraiment d’où Ninja a démarré, il est important de rappeler qu’avant de décoller sur Fortnite et de devenir l’un des plus gros streamers au monde, ce dernier a connu une toute autre carrière.

Tyler Blevins, aussi connu sous le nom de Ninja, a en effet fait ses armes sur une toute autre licence : Halo ! Et loin de se contenter de diffuser ses parties sur Twitch, ce dernier était alors investi dans un autre pan du jeu-vidéo, nous parlons bien évidemment du monde de l’e-sport. Aussi étonnant que cela puisse paraitre, Ninja a connu une carrière e-sportive assez remplie sur la licence de Microsoft, passant par des écuries de renom outre-Atlantique, comme Cloud9, Evil Geniuses ou encore Luminosity. Plusieurs vidéos sont d’ailleurs encore disponible sur la chaine Youtube du streamer, témoignant de l’intensité avec laquelle il jouait au jeu.

Alors que la licence doit voir son nouvel épisode, Halo Infinite, sortir dans le courant du mois de décembre, les aficionados du genre espère un retour de la hype autour du jeu. Les fans de Ninja, quant à eux, ne semblent ne pas avoir omis de lui rappeler à plusieurs reprises que beaucoup d’entre-eux espéraient son retour sur le jeu. Des questions qui ont visiblement amusé le streamer, qui s’est fendu d’un tweet pour le moins mystérieux.

Dans un deuxième tweet diffusé ce matin, le joueur souligne son impatience vis-à-vis de la sortie du jeu. Un tweet auquel le compte officiel de Halo n’a bien évidemment pas manqué de répondre, alimentant encore un peu plus les rumeurs.

Si rien n’est pour l’instant confirmé, on connait l’attrait du streamer pour la compétition. Lors de son époque Fortnite, il avait participé à de nombreuses compétitions. Plus récemment, il avait aussi marqué son interêt pour Valorant, participant à quelques tournois, mais délaissant vite le jeu de Riot Games pour retourner au jeu qui l’a fait exploser, Fortnite.

Copyright visuel : Epic Games/Microsoft Games

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Une restriction de moins pour le prochain Major CS:GO de Stockholm

Le Ministre de l’Intérieur suédois, Mikael Damberg, a déclaré que l’e-sport était désormais considéré comme un sport d’élite par les autorités suédoises. Une annonce qui devrait permettre aux joueurs des équipes qualifiées pour le Major de disposer d’un visa afin d’entrer dans le pays.

C’était devenu le feuilleton de l’été : le Major de Counter-Strike, organisé par la société PGL, aura-t-il bien lieu à Stockholm à partir du 23 octobre, comme prévu initialement? Après la relocalisation de The International, évènement disputé sur Dota 2, vers la Roumanie, tous les yeux étaient tournés vers la prochaine compétition majeure de CS:GO.

Et l’un des points de friction majeur entre Valve et le gouvernement suédois semble s’être résolu au cours des dernières heures. En effet, l’e-sport n’étant pas reconnu comme un sport d’élite par les autorités, l’octroi de visas pour les différents joueurs et staffs devant se déplacer sur place, semblait plus que compromis.

Un problème qui n’en est désormais plus un, au vu des dernières déclarations du Ministre de l’Intérieur Mikael Damberg. Ce dernier a en effet déclaré ce jeudi un changement de statut pour les sports électroniques  » Il s’est avéré que d’autres pays européens avaient une interprétation plus large des sports d’élite. Ainsi l’exemption que le gouvernement a maintenant adoptée est importante pour pouvoir augmenter les possibilités d’organiser des compétitions internationales d’élite dans les sports électroniques et des événements du même type en Suède.« 

Les joueurs et staffs se déplaçant en Suède devront bien entendu toujours se plier aux règles Covid-19 et fournir des certificats de vaccination ou des tests négatifs avant leur entrée sur le territoire.

Une dernière chose reste à régler pour s’assurer que le Major PGL aura bien lieu à Stockholm. En effet, l’organisateur a exigé de pouvoir rassembler un public à l’Avicii Arena, où se dérouleront les matchs. Une requête dont on devrait connaitre la réponse dès le 15 septembre.

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De PES à l’eFootball : un aperçu de l’avenir de l’e-sport ?

La nouvelle récente selon laquelle Konami entame une transition vers un modèle free-to-play de son jeu de football annuel payant, PES, qui s’appellera désormais eFootball, n’a pas du tout surpris. Le développeur japonais est le énième de la liste à capitaliser sur un modèle économique de plus en plus populaire. Mais quel est l’impact sur l’industrie du jeu ? Et cette évolution a-t-elle un impact sur l’e-sport ? Quelques questions auxquelles on va tenter de répondre ensemble.

La lente transformation de PES vers eFootball a été longue à venir. Pro Evolution Soccer était considéré comme le meilleur jeu de football il y a environ 10 ans, mais depuis le rattrapage d’EA avec FIFA, Konami est à la traîne. Le développeur japonais savait que quelque chose devait changer, et a donc pris la décision radicale d’arrêter les sorties annuelles. Le résultat est eFootball : un jeu gratuit, mis à jour en permanence et qui peut être joué à la fois sur consoles et sur smartphones.

Konami est loin d’être le premier développeur de jeux à tenter d’instaurer un nouveau modèle de revenus. Il est de plus en plus difficile de faire des bénéfices avec des jeux AAA. Les jeux vidéo sont de plus en plus avancés sur le plan technique et nécessitent plus d’heures de travail que jamais. Pourtant, le prix des jeux n’a pas augmenté, et le nombre de propriétaires de consoles stagne de plus en plus. L’ancien responsable de Playstation, Shawn Layden, déclarait dans une interview accordée à gamesindustry.biz que le nombre de propriétaires de consoles tournait autour de 250 millions depuis les années 1990. Microsoft, Nintendo et Sony sont incapables de trouver un nouveau public. Selon M. Layden, la sortie traditionnelle à 60 euros peut donc rapidement devenir une condamnation pour certains studios.

© Konami – La roadmap de eFootball pour 2021

L’industrie du jeu-vidéo expérimente donc beaucoup de modèles de revenus alternatifs. La plupart des entreprises s’inspirent des jeux mobiles. Ce secteur est d’ailleurs le meilleur élève de la classe d’un point de vue financier. Année après année, des bénéfices records sont réalisés et le public ne cesse de croître. En 2020, pas moins de 2,6 milliards de personnes ont joué à un jeu sur leur smartphone, et le chiffre d’affaires annuel du secteur a augmenté de 13,3 %. Les grands gagnants ? Pas les applications dont le prix est fixe et unique, mais les jeux gratuits avec microtransactions.

L’exemple de Nintendo

Nintendo a dû en faire l’expérience de première main. En 2016, le fabricant de consoles japonais a sorti son premier jeu pour smartphones : Super Mario Run. Le jeu a été développé par l’équipe à l’origine des jeux New Super Mario Bros., dirigée par le légendaire créateur de Mario, Shigeru Miyamoto. À ses débuts, Super Mario Run est sorti en tant que jeu payant : les quelques premiers niveaux étaient jouables, le reste du jeu était caché derrière un prix unique de 9,99 €. Malgré les énormes chiffres de téléchargement – plus de 200 millions de téléchargements en un an – les recettes ont été « inférieures aux attentes », selon le président de Nintendo de l’époque, Tatsumi Kimishima.

La solution fut rapidement trouvée. Quelques mois après la sortie de Super Mario Run, Fire Emblem Heroes est apparu sur l’App Store. Fire Emblem est une franchise beaucoup moins connue que Mario, et cela s’est vu dans le nombre d’utilisateurs. Heroes n’a réalisé qu’un dixième des téléchargements de Super Mario Run, et pourtant le jeu a immédiatement fait mieux en termes de revenus, grâce à un système économique bien mieux pensé. En effet, Heroes est un jeu de gacha, basé sur les machines à capsules japonaises. Si ce type de jeux est généralement gratuit, ils sont spécialement conçus pour inciter les gens à dépenser le plus possible avec des achats disponibles directement dans le jeu. Le succès de Heroes a donc été le signal pour Nintendo de passer à des jeux entièrement gratuits, mais où les microtransactions faisaient la loi. Leurs sorties ultérieures, dont Animal Crossing : Pocket Camp, Mario Kart Tour et Dr. Mario World, ont toutes suivi la même philosophie, avec succès.

Les jeux sur console ont également suivi la tendance du passage en free-to-play. Fortnite, l’un des jeux les plus populaires de ce siècle, devait initialement être vendu à un prix fixe. Epic a décidé d’ajouter un mode Battle Royale à son jeu, disponible de manière gratuite, et cela s’est avéré être un coup en or. En effet, Fortnite a gagné des milliards d’euros ces dernières années rien qu’avec la vente de battle pass et de skins, dépassant largement les potentiels gains qu’ils auraient engrangé avec la vente d’un jeu. Cela a piqué l’intérêt des développeurs de jeux compétitifs : Fortnite était la preuve que les jeux gratuits peuvent être extrêmement rentables sans que les joueurs paient pour obtenir un avantage dans le jeu.

Mais l’énorme succès de Fortnite n’est pas seulement dû à l’absence de prix. Le support cross-play est également un élément essentiel du succès d’Epic. Leur Battle Royale reste disponible sur pratiquement toutes les consoles, PC et smartphones. La seule frontière qui peut séparer les joueurs, c’est les capacités de leur plateforme. Autre avantage à prendre en compte: la sauvegarde de toutes ces progressions sur le cloud. Si l’on compare cette situation à celle de FIFA, une sortie annuelle à 60 € où chaque plate-forme est isolée, le choix de Konami ne peut être qualifié que de logique.

© Epic Games – Le crossplay est resté l’un des gros avantages de Fortnite

Et Konami est loin d’être le seul grand développeur à avoir changé de cap ces dernières années. En 2020, Activision surprenait le secteur du jeu-vidéo avec la sortie de Warzone, un battle royale gratuit qui évolue en même temps que les sorties annuelles de Call of Duty. Dans le même ton, Blizzard ne sortira pas le successeur d’Overwatch comme un nouveau produit, mais plutôt comme une mise à jour (payante ou non) du jeu original. Rocket League, racheté par Epic, est depuis passé dans un modèle entièrement free-to-play et a dans le même temps reçu un nouveau coup de hype. Même Valve, avec CS:GO et Dota 2, a résolument opté pour le free-to-play et le modèle des jeux en tant que service.

Un avenir incertain

Mais quel impact cette évolution aura-t-elle sur la pratique de l’e-sport ? Tout d’abord, cela réduit considérablement le possible frein que les joueurs connaissent quand ils veulent se lancer sur un jeu. En publiant le jeu gratuitement, et qui plus est sur les smartphones, le développeur s’adresse à un tout nouveau public. L’Asie, en particulier, où le football est extrêmement populaire et presque exclusivement joué sur des appareils mobiles, pourrait devenir une mine d’or à long terme. La partie compétitive de PES/eFootball pourrait ainsi recevoir un afflux de nouveaux talents. Un plus grand nombre de joueurs signifie aussi plus de tournois, des cagnottes plus élevées et plus d’intérêt de la part des annonceurs potentiels.

L’inconvénient potentiel est que les développeurs prendront moins de risques pour créer des jeux à l’avenir. Les bénéfices réalisés par les jeux gratuits pourraient entraîner l’abandon progressif des jeux traditionnels. Un comportement qui pourrait causer des problèmes à l’avenir. Si un développeur considère qu’un jeu n’a pas assez de succès, il arrive parfois que le projet soit abandonné. Dans le passé, ce n’était pas un problème, car les gens continuaient de profiter du jeu. Mais les jeux modernes nécessitent souvent une connexion Internet pour fonctionner, ce qui veut dire que si les serveurs sont fermés, le jeu devient injouable. Dans ce cas, les joueurs perdent tout le temps et l’argent qu’ils ont investi dans le jeu. Pour les athlètes de sports électroniques, le problème est encore plus grave : ils perdent aussi leur gagne-pain. Et passer d’un jeu à un autre n’est pas toujours facile.

La popularité croissante des jeux gratuits soulève la question de savoir si les développeurs qui s’en tiennent aux versions traditionnelles risquent de perdre leur position sur le marché. Le volte-face de Konami risque sans doute de faire réfléchir EA. Si un jeu coûte 60 euros et que l’autre peut être téléchargé gratuitement, beaucoup de gens prendront rapidement leur décision. Mais la question reste de savoir si une telle transition sera bénéfique au secteur du gaming, et par extension à l’e-sport.

Copyright visuel: Konami

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PiKaH représentera la Belgique sur Tekken pour l’IESF World Championship

C’est officiel, le joueur qui représentera nos couleurs à travers la Belgian Esports Federation (BeSF) sera PiKaH. Le talentueux joueur a prouvé son efficacité au cours des phases finales de qualifications ce week-end dernier! Il sera donc envoyé à Eilat en Israël pour la compétition Tekken où se réuniront des joueurs de classe mondiale.

Le joueur PiKaH n’aura pas démérité! Gravissant d’abord les échelons des deux phases de qualifications avec une poignée d’autres joueurs, c’est au cours des finales de ce week-end que le jeune joueur a sécurisé son slot pour la compétition mondiale.

Il utilise Steve & Eliza face au Yoshimitsu de son premier adversaire; ‘pewpew_‘. Ils commencent tous deux par concéder un point mais le manque de finition de pewpew_ lui sera fatal face au skill de PiKaH : ce dernier remporte les deux manches suivantes et donc le match sur un score de 3-1.

Vient alors le duel au sommet du Winner Bracket, le combat face au redoutable ‘SilverBeamMoon‘. Redoutable car celui-ci aura aussi prouvé depuis le début qu’il mérite sa place dans une compétition d’ordre mondiale. Le match commence, le combat est rapide, les combos s’enchaînent. Les esquives sont parfois chirurgicales et les contres destructeurs : Jin de SilverBeamMoon remporte le premier round après un contre bien fourni. Le Leo de PiKaH lui permet de remporter les rounds suivants; ses combos s’avèrent bien lancés malgré la garde prolongée de Jin. PiKaH prend la main mais se fait rattraper par le professionnalisme de SilverBeamMoon : le score est serré: 4-3.

Les manettes utilisées par les joueurs de Tekken

SilverBeamMoon se fait donc reléguer en Looser Bracket, gagne contre pewpew_ et revient pour la grande finale face à son némésis.

La finale est serrée, les personnages se succèdent pour PiKah avec Noctis, Kazuya & Geese. Les compétences utilisés sont les mêmes que celles citées précédemment et la technicité de PiKaH lui fait remporter l’Invitational!

Nous vous donnons rendez-vous septembre prochain pour les finales régionales de la compétition!

Crédit photo : BeSF

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Rétrospective des résultats de l’EVO 2021 de la région Europe

C’est le premier EVO qui est organisé par SONY depuis son rachat et il faut le dire, aucun défaut majeur n’a été ressenti depuis son début. C’est bien au cours de ce week-end dernier que s’est jouée la majorité des compétitions de la région Europe occidentale et les résultats ont été pour la plupart prometteurs. Nous revenons, avec vous, sur ces dits résultats avec une petite rétrospective des tournois!

Street Fighter V

Développé et édité par Capcom, le jeu-vidéo de combat Street Fighter V est sorti dans nos contrées le 16 février 2016. Il n’a pas fallu longtemps pour que les tournois se multiplient et c’est aussi à travers l’EVO que Street Fighter conserve sa place de l’un des jeux de combats les plus compétitifs au monde!

Quant aux résultats, le top 4 est dominé par un podium typiquement anglais! Les demi-finales ont vu s’affronter respectivement les joueurs Hurricane à Musclenoob et Infexious à Problem-X, du côté du Winner Bracket. Hurricane et Infexious remportent 2-0 leur match et se rencontrent au sommet de ce même Winner Bracket tandis que Infexious & Musclenoob sont relégués au Looser Bracket.

Hurricane écrase son adversaire (3-0) et monte à la grande finale. Au Looser Bracket, Infexious passera avec facilité (en termes de points) Musclenoob & Infexious. La finale qui suit voit s’affronter Hurricane contre Infexious et c’est sur un score serré (3-2) qu’Hurricane est le grand champion de la région Europe occidentale !

Le podium se constitue donc comme suit : Hurricane, Problem X (de chez mousesports), Infexious (de chez Team Beast) et puis Musclenoob. Il faudra atteindre la septième place pour voir un francophone : le Français Luffy de chez GamersOrigin.

Mortal Kombat

Le top 3 du célèbre jeu développé par NetherRealm Studios et édité par Warner Bros. Interactive Entertainment est tricolore : russe pour commencer, grec en deuxième et autrichien en troisième.

Le Russe Disarted de la Mystery Esports Gaming commencera avec difficulté le premier match de la finale (1-3) contre le Grec K-TOP mais remportera le deuxième match 3-2 et gagne donc les $2,000 de cash-prize dédiés au premier.

Il n y a eu qu’une compétition réunissant toutes les nations d’Europe, autant de l’Est que de l’Ouest.

Tekken 7

Pour continuer sur notre lancée, nous vous avons annoncé il y a peu la réussite de la joueuse PiKaH au cours de la phase qualificative en vue de l’IESF World Championship à Eilat. Sachez que notre chère joueuse belge est aussi présente à l’EVO où elle a été sélectionnée et concourt parmi 15 autres participants dont 4 Français : Super Akouma, øracle, D.F.P. & Kalak.

Takamura, le joueur de classe mondial belge a été déclaré forfait pour la suite des Qualifiers suite à un problème de manettes, il a donc laissé la victoire à son adversaire pour la suite du tournoi.

Il faudra donc attendre le 15 août pour la fin des festivités concernant Tekken 7 et savoir qui sera le grand vainqueur de la région Europe occidentale!

Crédit photo : Robert Paul pour Sony EVO

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Le président de Blizzard démissionne après un procès pour harcèlement sexuel

La semaine dernière, l’État de Californie intentait une action en justice contre Activision Blizzard. Une annonce qui avait fait parler d’elle dans l’industrie du jeu vidéo. Étant directement lié au scandale de harcèlement sexuel, J. Allen Brack, le président de Blizzard, a donc annoncé sa démission.

Après 16 longues années au sein de Blizzard, la carrière de J. Allen Brack touche à sa fin. Après des débuts comme développeur sur World of Warcraft en 2005, Brack a gravi les échelons au fil des années. C’est en 2018 qu’il a été nommé président de la société. Mais les allégations de harcèlement sexuel dans le procès californien auront eu raison de Brack, qui n’avait plus d’autre choix que de démissionner…

Il n’est cependant pas la seule personne visée par ces révélations. L’année dernière, Alex Afrasiabi, un autre employé de Blizzard, était licencié après avoir été pointé du doigt dans le rapport. Il faisait lui-aussi notamment partie de l’équipe World of Warcraft avec ce désormais ex-président. S’il était, semble-t-il, connu en interne pour sa mysoginie et sa toxicité, l’homme était apparemment intouchable. Pour l’heure, leurs collègues conservent leur emploi au sein de l’équipe.

Ce départ fait suite à l’action massive des employés de Blizzard, débutée la semaine dernière. Plus de 2 600 employés ont signé une lettre ouverte condamnant la réponse de Blizzard face aux accusations. Plus encore, les employés exigent plus de diversité au sein de l’entreprise et un système d’audit externe afin de contrôler les cadres.

Depuis, la fonction de J. Allen Brack est reprise par deux personnes, à savoir : Jen Oneal et Mike Ybarra. Oneal dirigeait auparavant Vicarious Vision, connu pour les récents remakes de Crash Bandicoot et Tony Hawk’s Pro Skater. De son côté, Ybarra a plus de 20 années d’expérience chez Microsoft à son actif. Notamment comme PDG de la division Xbox. Nul doute que d’autres grands changements arriveront encore chez Blizzard. Vous découvrirez toutes les mises à jours sur Proximus Pickx !

Copyright visuel : Blizzard

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LEC summer split : le peloton de tête confirme, tous les qualifiés sont connus

La dernière journée de groupe du summer split LEC sur League of Legends est terminée. Excepté une équipe, les favoris ont confirmé leur statut et les six qualifiés pour les play-offs sont connus.

Alors que de nombreux leaders étaient déjà sûrs de se qualifier pour les play-offs, les derniers enjeux se jouaient principalement dans le bas du top 6. À égalité de victoires et de défaites, Team Vitality et Astralis s’affrontaient dans l’espoir d’arracher le dernier ticket possible. C’est finalement l’organisation française qui s’est imposée. Une victoire capitale, combinée à la défaite d’XL face aux solides G2 Esports, qui les propulsent en play-offs.

Dans le haut de tableau, mis à part la défaite de Misfits Gaming, chaque équipe de tête s’est imposée pour faire le plein de confiance avant le tableau final. Nous retrouvons donc dans l’ordre Rogue en tête et favori pour ce summer split, juste devant G2, MAD Lions, Misfits, Fnatic et Vitality.

© Gamepedia

Place désormais au play-offs avec des matchs qui s’annoncent disputés et palpitants. Le rendez-vous est fixé au 13 août prochain. Si le quatuor de tête est reversé dans le winners bracket avec les affrontements suivants, Rogue – Misfits / MAD Lions – G2, Vitality et Fnatic auront un parcours bien plus compliqué et devront remonter le losers bracket sans jamais trébucher, sous peine d’être éliminés.

Pour rappel, les deux premiers seront qualifiés pour le Main Event des Worlds, alors que le troisième sera reversé dans le play-in. Affaire à suivre !

Copyright visuel : Team Vitality